
Rien ne va plus pour ces salariés de LADOM, l'agence d'Etat en charge de la mobilité des originaires et résidents des collectivités d'Outre-mer.
Réunis ce matin à la permanence de la députée Monique Orphé, ces derniers sont au bord de la crise de nerfs. En cause : leur délégué régional qui serait à l'origine du départ d'une dizaine de salariés depuis sa prise de fonctions en 2003.
Pour Fadela Dijoux, déléguée syndicale CGT/UGFF, "nous sommes dans une situation de souffrance au travail, de discriminations, de dénigrements, de pression morale. Nous alertons notre direction générale et notre responsable des ressources humaines, car il y a en ce moment cinq salariés de LADOM qui sont en arrêt pour des raisons psychologiques".
"Quand on voit la détresse de la jeunesse réunionnaise, c'est inadmissible de travailler dans ces conditions", indique une autre salariée.
Une autre de leur collègue reprend : "À aucun moment il n'y a eu de gestion de conflits lorsque des salariés ont quitté LADOM. On dit stop ! Notre délégué régional fait culpabiliser le personnel et dénigre ses salariés. Il veut diviser les salariés entre eux pour mieux régner".
Les salariés réclament la fin de ces "discriminations" ainsi qu'une rencontre avec l'Arvise (Association Réunionnaise pour la Valorisation des Initiatives Socio-Economiques). "Même si notre délégué régional quitte son poste, il y aura tout de même pas mal de choses à changer au sein de LADOM", concluent-ils.
Réunis ce matin à la permanence de la députée Monique Orphé, ces derniers sont au bord de la crise de nerfs. En cause : leur délégué régional qui serait à l'origine du départ d'une dizaine de salariés depuis sa prise de fonctions en 2003.
Pour Fadela Dijoux, déléguée syndicale CGT/UGFF, "nous sommes dans une situation de souffrance au travail, de discriminations, de dénigrements, de pression morale. Nous alertons notre direction générale et notre responsable des ressources humaines, car il y a en ce moment cinq salariés de LADOM qui sont en arrêt pour des raisons psychologiques".
"Quand on voit la détresse de la jeunesse réunionnaise, c'est inadmissible de travailler dans ces conditions", indique une autre salariée.
Une autre de leur collègue reprend : "À aucun moment il n'y a eu de gestion de conflits lorsque des salariés ont quitté LADOM. On dit stop ! Notre délégué régional fait culpabiliser le personnel et dénigre ses salariés. Il veut diviser les salariés entre eux pour mieux régner".
Les salariés réclament la fin de ces "discriminations" ainsi qu'une rencontre avec l'Arvise (Association Réunionnaise pour la Valorisation des Initiatives Socio-Economiques). "Même si notre délégué régional quitte son poste, il y aura tout de même pas mal de choses à changer au sein de LADOM", concluent-ils.