
Vers 10h15 ce matin, une centaine de personnes s'est rassemblée devant le VVF de Saint-Gilles pour manifester contre la vente de ce bien par le Conseil général.
Plusieurs associations et syndicats étaient présents sur place afin de dénoncer ce qu'ils considèrent comme la suppression du tourisme social à la Réunion : "Tout s'est très bien passé. On était étonnés de voir toutes ces personnes... Le bouche à oreille a bien fonctionné... " déclare le représentant de US Solidaires, Jean-Claude Bénard.
Selon ce dernier, le Conseil général participerait à la suppression du tourisme social local à la Réunion : "Nous estimons que pour faire du tourisme, il faut un équilibre. Or, en ce moment, on supprime le tourisme social. La présidente du Conseil général avec la grande majorité des conseillers ont voté la vente du VVF de Saint-Gilles pour 20 millions d'euros... C'est inadmissible" indique Jean-Claude Bénard.
Ce message a été soutenu par plusieurs associations parmi lesquelles Action Ouest, représentée par Eric Gence, ou encore l'Association des consommateurs de la région Ouest. Certains syndicats ont aussi tenu à marquer ce rassemblement de leur présence comme la Confédération générale des travailleurs réunionnais (CGTR), l'Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) ou encore US Solidaires. Résultat : Un comité de défense verra le jour très prochainement.
Plusieurs actions devraient être organisées dans les jours à venir à l'image de la distribution d'une pétition sur l'ensemble du département. Par ailleurs, un pique nique devrait avoir lieu dés dimanche prochain devant l'entrée littorale du VVF. Pour le représentant de Solidarités, cette situation ne peut plus être acceptée : "Si cette journée rencontre un engouement important, nous n'hésiterons pas à durcir nos actions... Nous lançons un appel à la population..."
C'est dans le cadre de la "Valorisation du patrimoine", que le Département a décidé de vendre ses biens patrimoniaux parmi lesquels le VVF de Saint-Gilles. Rico Floriant, un conseiller général de la ville de Saint-Paul s'était alors vivement opposé à cette décision le 25 mars dernier : "Le VVF de Saint-Gilles répond à la demande de familles modestes lors des vacances à La Réunion, alors pourquoi le vendre? Où iront les familles modestes ? Et si vous le vendez, y aura-t-il un projet en remplacement du VVF ?..."
Plusieurs associations et syndicats étaient présents sur place afin de dénoncer ce qu'ils considèrent comme la suppression du tourisme social à la Réunion : "Tout s'est très bien passé. On était étonnés de voir toutes ces personnes... Le bouche à oreille a bien fonctionné... " déclare le représentant de US Solidaires, Jean-Claude Bénard.
Selon ce dernier, le Conseil général participerait à la suppression du tourisme social local à la Réunion : "Nous estimons que pour faire du tourisme, il faut un équilibre. Or, en ce moment, on supprime le tourisme social. La présidente du Conseil général avec la grande majorité des conseillers ont voté la vente du VVF de Saint-Gilles pour 20 millions d'euros... C'est inadmissible" indique Jean-Claude Bénard.
Ce message a été soutenu par plusieurs associations parmi lesquelles Action Ouest, représentée par Eric Gence, ou encore l'Association des consommateurs de la région Ouest. Certains syndicats ont aussi tenu à marquer ce rassemblement de leur présence comme la Confédération générale des travailleurs réunionnais (CGTR), l'Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) ou encore US Solidaires. Résultat : Un comité de défense verra le jour très prochainement.
Plusieurs actions devraient être organisées dans les jours à venir à l'image de la distribution d'une pétition sur l'ensemble du département. Par ailleurs, un pique nique devrait avoir lieu dés dimanche prochain devant l'entrée littorale du VVF. Pour le représentant de Solidarités, cette situation ne peut plus être acceptée : "Si cette journée rencontre un engouement important, nous n'hésiterons pas à durcir nos actions... Nous lançons un appel à la population..."
C'est dans le cadre de la "Valorisation du patrimoine", que le Département a décidé de vendre ses biens patrimoniaux parmi lesquels le VVF de Saint-Gilles. Rico Floriant, un conseiller général de la ville de Saint-Paul s'était alors vivement opposé à cette décision le 25 mars dernier : "Le VVF de Saint-Gilles répond à la demande de familles modestes lors des vacances à La Réunion, alors pourquoi le vendre? Où iront les familles modestes ? Et si vous le vendez, y aura-t-il un projet en remplacement du VVF ?..."