
En fin de matinée, une vingtaine d'habitants de Commune Prima et du Chaudron s'est massée devant le siège de la Cinor à Sainte-Clotilde. Très remontés, les manifestants réclament à la Cinor un contrat de travail. Tant qu'ils n'auront pas obtenu satisfaction, ils ne bougeront pas.
Cette colère viendrait d'une promesse de campagne faite lors des législatives, en juin dernier, par Maurice Gironcel, actuel président de la Cinor. "On a fait de la politique pour lui. Il nous avait promis un emploi mais depuis rien du tout. On a fait campagne pour lui, on est allé aux meetings", déplore Jean-Louis, habitant du Chaudron. Ils sont une vingtainre, tous sans emplois, et habitants les quartier de Prima et du Chaudron.
"Quand on voit qu'à la Cinor sur 300 employés, pas un seul n'est un 'marmaille Prima', on n'est pas d'accord", explique Jean-Hugues, habitant à Commune Prima. "On est tous au chômage et cela ne peut plus durer. On demande de la préférence régionale pour l'embauche et plus loin encore de la préférence pour le quartier", ajoute-t-il. Le siège de la Cinor jouxte le quartier Prima.
Les manifestants ont rencontré Gilles Leperlier, collaborateur de cabinet de Maurice Gironcel. Selon eux, aucune réponse n'aurait été apportée. Nous avons tenté de joindre sans succès Gilles Leperlier.
Les manifestants préviennent. Ils ne bougeront pas tant qu'ils n'auront pas eu d'avancée. "On va durcir le mouvement et il y aura de plus en plus de monde", précise Jean-Louis. En attendant, l'accès au site de la Cinor se fait toujours, seuls les véhicules ne peuvent plus rentrer.
Cette colère viendrait d'une promesse de campagne faite lors des législatives, en juin dernier, par Maurice Gironcel, actuel président de la Cinor. "On a fait de la politique pour lui. Il nous avait promis un emploi mais depuis rien du tout. On a fait campagne pour lui, on est allé aux meetings", déplore Jean-Louis, habitant du Chaudron. Ils sont une vingtainre, tous sans emplois, et habitants les quartier de Prima et du Chaudron.
"Quand on voit qu'à la Cinor sur 300 employés, pas un seul n'est un 'marmaille Prima', on n'est pas d'accord", explique Jean-Hugues, habitant à Commune Prima. "On est tous au chômage et cela ne peut plus durer. On demande de la préférence régionale pour l'embauche et plus loin encore de la préférence pour le quartier", ajoute-t-il. Le siège de la Cinor jouxte le quartier Prima.
Les manifestants ont rencontré Gilles Leperlier, collaborateur de cabinet de Maurice Gironcel. Selon eux, aucune réponse n'aurait été apportée. Nous avons tenté de joindre sans succès Gilles Leperlier.
Les manifestants préviennent. Ils ne bougeront pas tant qu'ils n'auront pas eu d'avancée. "On va durcir le mouvement et il y aura de plus en plus de monde", précise Jean-Louis. En attendant, l'accès au site de la Cinor se fait toujours, seuls les véhicules ne peuvent plus rentrer.