
A quelques mois de la mise en place de la réforme des lycées, les élèves de plusieurs établissements du Sud n'ont pas manqué de crier leur mécontentement ce matin, du côté de Saint-Pierre. Équipés de banderoles sur le parvis de l'Hôtel de ville, les membres du cortège se sont dirigés vers la sous-préfecture où une délégation a été reçue en fin de matinée.
Sous l'impulsion de l'UNEL et de son jeune président Alain Hoarau, les élèves manifestants ont dénoncé plusieurs points relatifs aux conditions de travail et d'enseignement dans les lycées locaux. Réformes, violences, précarité, suppressions de postes ou encore demande de moyens supplémentaires à l'échelle régionale, comme la gratuité des transports scolaires, constituent les principales motivations des manifestants.
Alors que le mouvement commençait à se disperser en milieu de journée, une Assemblée générale devait être organisée afin de savoir si il serait reconduit ce vendredi. Un mouvement qui n'a été que peu suivi dans le chef-lieu.
Sous l'impulsion de l'UNEL et de son jeune président Alain Hoarau, les élèves manifestants ont dénoncé plusieurs points relatifs aux conditions de travail et d'enseignement dans les lycées locaux. Réformes, violences, précarité, suppressions de postes ou encore demande de moyens supplémentaires à l'échelle régionale, comme la gratuité des transports scolaires, constituent les principales motivations des manifestants.
Alors que le mouvement commençait à se disperser en milieu de journée, une Assemblée générale devait être organisée afin de savoir si il serait reconduit ce vendredi. Un mouvement qui n'a été que peu suivi dans le chef-lieu.