Plus qu’un groupe revendicatif, les membres, pour la plupart facteurs et guichetiers, veulent élever le débat, amener un dialogue social qui, pour eux, est devenu absent au sein de la Poste. Ce groupe de réflexion, comme ils le définissent donc, a évoqué face à la presse de multiples points qui font l’objet à l’heure actuelle d’une confrontation entre les salariés et la direction.
D’abord, ils rappellent qu’en tant que contractuels de droit privé, soit 40% des salariés de la Poste, ils sont "loin d’avoir tous les avantages qu’ont les fonctionnaires. La population pense que parce que nous travaillons à la Poste, nous sommes forcément avantagés, c’est faux", explique Michel Johnny, facteur à Saint-Denis.
Un appel à "Agir pour nou tout"
Ces derniers souhaitent, par exemple, que la prime ultramarine de 220 euros qu’ils avaient obtenu après un mouvement social soit incorporée au salaire en vue d’une meilleure cotisation de leurs retraites.
A côté des question de fond sur la privatisation de la Poste est les conséquences qu’elle aura d’ici 2012, les contractuels demandent un 13ème mois ou encore la possibilité que les plis électoraux soient payés, non pas en heures supplémentaires mais au pli.
Plus globalement, ces salariés, inquiets pour leur avenir et constatant une multiplication des restrictions budgétaires, demandent une garantie de l’emploi. Pour être conforté dans leur combat, le collectif va solliciter l’association "Agir pou nou tout". Et s’il faut ensuite mener des actions plus concrètes, "Mieux vivre pour les salariés de la Poste" envisagent déjà de faire appel aux diverses organisations syndicales.
D’abord, ils rappellent qu’en tant que contractuels de droit privé, soit 40% des salariés de la Poste, ils sont "loin d’avoir tous les avantages qu’ont les fonctionnaires. La population pense que parce que nous travaillons à la Poste, nous sommes forcément avantagés, c’est faux", explique Michel Johnny, facteur à Saint-Denis.
Un appel à "Agir pour nou tout"
Ces derniers souhaitent, par exemple, que la prime ultramarine de 220 euros qu’ils avaient obtenu après un mouvement social soit incorporée au salaire en vue d’une meilleure cotisation de leurs retraites.
A côté des question de fond sur la privatisation de la Poste est les conséquences qu’elle aura d’ici 2012, les contractuels demandent un 13ème mois ou encore la possibilité que les plis électoraux soient payés, non pas en heures supplémentaires mais au pli.
Plus globalement, ces salariés, inquiets pour leur avenir et constatant une multiplication des restrictions budgétaires, demandent une garantie de l’emploi. Pour être conforté dans leur combat, le collectif va solliciter l’association "Agir pou nou tout". Et s’il faut ensuite mener des actions plus concrètes, "Mieux vivre pour les salariés de la Poste" envisagent déjà de faire appel aux diverses organisations syndicales.