
Dialogue de Sourds et Incompréhension !
Le torchon qui a jusqu'ici brûlé entre la présidente du Conseil général et les anciens de l’Arast est loin de s'éteindre. Sans prophétiser l'apocalypse, ceux qui misent sur le facteur temps pour un retour à la sérénité risquent d'être fort déçus.
Dans la réalité, nous avons à faire à un véritable "dialogue de sourds". La majorité PS, PCR, MODEM et Droite Sociale du département reste campée sur sa position intransigeante qui est, selon elle, celle du droit : La délégation des anciens de l’Arast n'a pas reçu mandat pour discuter de cette question avec qui que se soit.
Le dialogue de sourds qui a fait sombrer le Conseil général dans le ridicule depuis des semaines vient depuis hier de prendre un nouveau tournant. Ce qui fait surtout mal à tout observateur averti dans ce conflit, c'est que la Présidente et sa majorité n'ont à aucun moment eu la réelle intention de discuter.
Ils écoutent mais n’entendent pas…
Ce dossier a été amené sur le plan purement juridique et administratif, alors que les anciens de l’Arast demandent uniquement un regard plus humain sur leur cas ! La Présidente et sa majorité manquent de recul, manquent d’humanité, le conseil général est devenu une machine froide qui broie l’homme et fabrique de la casse sociale.
En tout cas limiter au plan juridique un tel débat n'aura aucun sens et serait à la limite une absurdité, tant que chacun campera sur ses positions.
On n'est donc vraiment pas sorti de l'auberge. Le feu continuera à couver sous la cendre, largement attisé par l’incompréhension des deux camps, et surtout par l’intransigeance de certains.
Nous avons rencontré les ex-employés de l’ARAST au Palais de la Source. Comme tout un chacun, nous ne pouvons que constater leur désarroi et leur incompréhension face au mépris et au silence assourdissant des élus de la majorité (PS, PCR, DS, MODEM) sur ce dossier.
Si gérer c’est prévoir, alors manifestement la gestion de ce dossier a été plus que défaillante tant ses effets sur la vie des personnes les plus vulnérables que sont les employés de l’ARAST et les personnes dont ils avaient la charge sont aujourd’hui réellement dramatiques. A aucun moment il n’a été envisagé les conséquences sociales pourtant plus que prévisibles tant au niveau de l’accompagnement social des personnes que de celui de la pérennisation d’emplois de personnels formés et compétents.
La majorité du Conseil général a été pressée de liquider cette association de peur peut-être qu’on y découvre des choses "embarrassantes". Au final, sa responsabilité n’a jamais été aussi engagée qu’aujourd’hui. Elle pensait se débarrasser d’un problème, mais c’est à un véritable drame social qu’elle doit aujourd’hui faire face.
Il y a urgence à agir, l’heure n’est plus à la réflexion voire aux accusations stériles, il faut indemniser les ex-employés de l’ARAST sans délais. A cas exceptionnel, mesures exceptionnelles !
Nous avons déjà demandé à Mme Nassimah DINDAR, Présidente du Conseil général, la tenue urgente d’une commission permanente exceptionnelle.
Nous regrettons ne pouvoir avoir plus d’éléments sur ce dossier ; mais ce qui est certain c’est que la situation implique aujourd’hui un engagement sans équivoque de la part notre collectivité.
On s’inquiète également des modalités de recrutement au GIP ; Il ne faudrait pas que d’autres personnes signent en lieu et place des ex-employés de l’ARAST et ce d’autant que le personnel de cette structure dispose déjà d’un niveau de qualification remarquable et d’une grande expérience professionnelle".
Le torchon qui a jusqu'ici brûlé entre la présidente du Conseil général et les anciens de l’Arast est loin de s'éteindre. Sans prophétiser l'apocalypse, ceux qui misent sur le facteur temps pour un retour à la sérénité risquent d'être fort déçus.
Dans la réalité, nous avons à faire à un véritable "dialogue de sourds". La majorité PS, PCR, MODEM et Droite Sociale du département reste campée sur sa position intransigeante qui est, selon elle, celle du droit : La délégation des anciens de l’Arast n'a pas reçu mandat pour discuter de cette question avec qui que se soit.
Le dialogue de sourds qui a fait sombrer le Conseil général dans le ridicule depuis des semaines vient depuis hier de prendre un nouveau tournant. Ce qui fait surtout mal à tout observateur averti dans ce conflit, c'est que la Présidente et sa majorité n'ont à aucun moment eu la réelle intention de discuter.
Ils écoutent mais n’entendent pas…
Ce dossier a été amené sur le plan purement juridique et administratif, alors que les anciens de l’Arast demandent uniquement un regard plus humain sur leur cas ! La Présidente et sa majorité manquent de recul, manquent d’humanité, le conseil général est devenu une machine froide qui broie l’homme et fabrique de la casse sociale.
En tout cas limiter au plan juridique un tel débat n'aura aucun sens et serait à la limite une absurdité, tant que chacun campera sur ses positions.
On n'est donc vraiment pas sorti de l'auberge. Le feu continuera à couver sous la cendre, largement attisé par l’incompréhension des deux camps, et surtout par l’intransigeance de certains.
Nous avons rencontré les ex-employés de l’ARAST au Palais de la Source. Comme tout un chacun, nous ne pouvons que constater leur désarroi et leur incompréhension face au mépris et au silence assourdissant des élus de la majorité (PS, PCR, DS, MODEM) sur ce dossier.
Si gérer c’est prévoir, alors manifestement la gestion de ce dossier a été plus que défaillante tant ses effets sur la vie des personnes les plus vulnérables que sont les employés de l’ARAST et les personnes dont ils avaient la charge sont aujourd’hui réellement dramatiques. A aucun moment il n’a été envisagé les conséquences sociales pourtant plus que prévisibles tant au niveau de l’accompagnement social des personnes que de celui de la pérennisation d’emplois de personnels formés et compétents.
La majorité du Conseil général a été pressée de liquider cette association de peur peut-être qu’on y découvre des choses "embarrassantes". Au final, sa responsabilité n’a jamais été aussi engagée qu’aujourd’hui. Elle pensait se débarrasser d’un problème, mais c’est à un véritable drame social qu’elle doit aujourd’hui faire face.
Il y a urgence à agir, l’heure n’est plus à la réflexion voire aux accusations stériles, il faut indemniser les ex-employés de l’ARAST sans délais. A cas exceptionnel, mesures exceptionnelles !
Nous avons déjà demandé à Mme Nassimah DINDAR, Présidente du Conseil général, la tenue urgente d’une commission permanente exceptionnelle.
Nous regrettons ne pouvoir avoir plus d’éléments sur ce dossier ; mais ce qui est certain c’est que la situation implique aujourd’hui un engagement sans équivoque de la part notre collectivité.
On s’inquiète également des modalités de recrutement au GIP ; Il ne faudrait pas que d’autres personnes signent en lieu et place des ex-employés de l’ARAST et ce d’autant que le personnel de cette structure dispose déjà d’un niveau de qualification remarquable et d’une grande expérience professionnelle".