
Hier, les assistants d’éducation étaient une nouvelle fois en grève pour protester contre leur situation précaire. Ce n’est pas dans la rue qu’ils ont fait entendre leurs revendications mais dans les bureaux des élus. Tous, maire, sous-préfet et député-maire, ont répondu de manière favorable pour défendre leur cause auprès du gouvernement.
Mais au final, cette satisfaction a rapidement été ternie hier par un autre événement : "Nous regrettons qu’en fin de journée, des chefs d’établissement aient appelé les assistants d’éducation sur leurs portables pour les menacer. Ils ont le droit de grever et cela ne doit pas être un motif de chantage pour la reconduction de leur emploi. Je condamne totalement cette attitude" a lancé le syndicaliste Yannis Lebon, représentant syndical de la CFTC.
Mais au final, cette satisfaction a rapidement été ternie hier par un autre événement : "Nous regrettons qu’en fin de journée, des chefs d’établissement aient appelé les assistants d’éducation sur leurs portables pour les menacer. Ils ont le droit de grever et cela ne doit pas être un motif de chantage pour la reconduction de leur emploi. Je condamne totalement cette attitude" a lancé le syndicaliste Yannis Lebon, représentant syndical de la CFTC.