"Le rectorat botte en touche sous couvert d’une machination entre le public et le privé, et ils pénalisent qui ? Les candidats", explique William Coleter, porte-parole du collectif "Stop Injustice", "aujourd’hui nous demandons au préfet que justice soit donnée à tous ces candidats, mais aussi à ces centres de formation privés qui ont de très bons résultats".
Derrière lui, une vingtaine d’élèves et leurs familles sont venus manifester devant la préfecture pour tenter d’obtenir une audience.
Ces jeunes en CAP esthétique et coiffure ont appris, à la veille des résultats du bac, qu’ils n’avaient pas obtenu le précieux sésame. En cause, certainement pas leurs bulletins de notes aux résultats plus que satisfaisants, mais le rejet de leurs dossiers de contrôle continu.
Alors que les candidats en BAC Pro et CAP du public qui s’étaient retrouvés dans la même situation ont depuis obtenu que le rectorat réexamine leurs dossiers lors d’une commission autorisée par le ministère, les apprentis issus de centres de formation privés, eux, devront repasser l’examen en septembre.
Une situation d’autant plus injuste que certains devaient entamer un emploi au mois de septembre ou encore partir en métropole. Avec les notes nécessaires en poche pour obtenir le précieux sésame, ils sont dans l’incompréhension et espèrent pouvoir rencontrer le préfet afin de trouver rapidement une solution.
Derrière lui, une vingtaine d’élèves et leurs familles sont venus manifester devant la préfecture pour tenter d’obtenir une audience.
Ces jeunes en CAP esthétique et coiffure ont appris, à la veille des résultats du bac, qu’ils n’avaient pas obtenu le précieux sésame. En cause, certainement pas leurs bulletins de notes aux résultats plus que satisfaisants, mais le rejet de leurs dossiers de contrôle continu.
Alors que les candidats en BAC Pro et CAP du public qui s’étaient retrouvés dans la même situation ont depuis obtenu que le rectorat réexamine leurs dossiers lors d’une commission autorisée par le ministère, les apprentis issus de centres de formation privés, eux, devront repasser l’examen en septembre.
Une situation d’autant plus injuste que certains devaient entamer un emploi au mois de septembre ou encore partir en métropole. Avec les notes nécessaires en poche pour obtenir le précieux sésame, ils sont dans l’incompréhension et espèrent pouvoir rencontrer le préfet afin de trouver rapidement une solution.