Un débrayage s'est tenu ce matin devant la Halle des manifestations. Une dizaine de salariés se sont mobilisés pour faire part de leur inquiétude quant à l'avenir de la structure, en déficit financier, et à la survie de leurs emplois.
"La situation de la Halle est très critique, et nous, on est dans le flou. On ne sait pas si on pourra faire le salon du bébé, ni être payés à la fin du mois", explique Chloé Talabaza, l'une des employées. "On a mis en place des projets de développement qu'on a soumis à la mairie, mais cela nécessite une recapitalisation, qui selon la Ville ne sera pas faite. On veut que la municipalité, qui ne se positionne pas, trouve des solutions. Treize familles sont concernées par la situation. On ne veut pas être abandonné !"
Contactée, la mairie assure qu'il est "hors de question de lâcher la structure ou le personnel" et rappelle que les problématiques financières de la SEM (société d'économie mixte), dont elle est majoritaire, n'est pas récente. "Le maire est allé rencontrer les salariés il y a une quinzaine de jour pour les rassurer. Maintenant, nous attendons le Conseil d'administration qui se tiendra mardi, c'est lui qui peut statuer. À ce moment là il y aura plus d'informations sur ces questions".
"La situation de la Halle est très critique, et nous, on est dans le flou. On ne sait pas si on pourra faire le salon du bébé, ni être payés à la fin du mois", explique Chloé Talabaza, l'une des employées. "On a mis en place des projets de développement qu'on a soumis à la mairie, mais cela nécessite une recapitalisation, qui selon la Ville ne sera pas faite. On veut que la municipalité, qui ne se positionne pas, trouve des solutions. Treize familles sont concernées par la situation. On ne veut pas être abandonné !"
Contactée, la mairie assure qu'il est "hors de question de lâcher la structure ou le personnel" et rappelle que les problématiques financières de la SEM (société d'économie mixte), dont elle est majoritaire, n'est pas récente. "Le maire est allé rencontrer les salariés il y a une quinzaine de jour pour les rassurer. Maintenant, nous attendons le Conseil d'administration qui se tiendra mardi, c'est lui qui peut statuer. À ce moment là il y aura plus d'informations sur ces questions".