RÉFORME DES RETRAITES, BLOQUONS LE GOUVERNEMENT SANS BLOQUER LE PAYS, LE PEUPLE DOIT TRANCHER PAR RÉFÉRENDUM !
Nicolas DUPONT-AIGNAN a présenté le 17 janvier 2023 son projet de « référendum d'initiative partagée » pour obliger le Gouvernement à consulter, par référendum, les Français, sur le maintien de l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans.
Pour obtenir les 185 signatures, de Députés ou Sénateurs, préalables au recueil des signatures des Français (10% du corps électoral) pour mettre en oeuvre ce référendum, il a appelé les forces politiques à mettre de côté leurs divergences, pour se rassembler sur l'essentiel.
À ce jour il a recueilli 27 signatures de parlementaires et a lancé une pétition, sur le site de Debout la France, qui permet aux Français de soutenir ce projet et inciter leurs parlementaires à signer cet appel à l'arbitrage du peuple.
1) Une réforme inutile: le régime des retraites par répartition n'est pas menacé.
En 2022, le régime est excédentaire à hauteur de 3,2 milliards d'euros. La part du produit intérieur brut consacrée aux retraites est prévue, dans la pire des prévisions du Conseil d'orientation des retraites (COR), en légère augmentation en 2032 (14,5%), puis en baisse en 2050 (14,1%), contre 13,7% en 2021.
Le COR prévoit un déficit hypothétique en 2030 (7 à 10 milliards) sur un montant total de retraites versées aujourd'hui de 346 milliards. Cela représente l'augmentation récente du versement net de la France à l'Union européenne (de 5 à 12 milliards en quelques années), ou la moitié du coût financier annuel des millions de fausses cartes Vitale (20 milliards). Ce montant est également moindre lorsqu'il est comparé aux 15,9 milliards de surcoûts d'intérêts, payés en 2022, pour pallier la gestion honteuse de l'État des emprunts à taux variable indexés sur l'inflation.
Plutôt que de faire souffrir les retraités, et les sacrifier une nouvelle fois, chassons les vrais gaspillages financiers de la France.
Cette réforme ne vise pas à empêcher un déficit grave, mais tout simplement à réduire, sous l'influence de Bruxelles, la part de notre richesse nationale réservée à nos retraités, et à ouvrir un nouveau marché aux fonds de pension, pour compléter l'insuffisance future des retraites des Français.
2) Une réforme dangereuse : les retraités vont être paupérisés.
Comment, dans un pays qui licencie les seniors dès 55 ans, peut-on demander l'augmentation de l'âge légal de départ à la retraite, qui va contraindre une majorité des non retraités, entre 62 et 64 ans, à toucher les minimas sociaux?
Nicolas DUPONT-AIGNAN a présenté le 17 janvier 2023 son projet de « référendum d'initiative partagée » pour obliger le Gouvernement à consulter, par référendum, les Français, sur le maintien de l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans.
Pour obtenir les 185 signatures, de Députés ou Sénateurs, préalables au recueil des signatures des Français (10% du corps électoral) pour mettre en oeuvre ce référendum, il a appelé les forces politiques à mettre de côté leurs divergences, pour se rassembler sur l'essentiel.
À ce jour il a recueilli 27 signatures de parlementaires et a lancé une pétition, sur le site de Debout la France, qui permet aux Français de soutenir ce projet et inciter leurs parlementaires à signer cet appel à l'arbitrage du peuple.
1) Une réforme inutile: le régime des retraites par répartition n'est pas menacé.
En 2022, le régime est excédentaire à hauteur de 3,2 milliards d'euros. La part du produit intérieur brut consacrée aux retraites est prévue, dans la pire des prévisions du Conseil d'orientation des retraites (COR), en légère augmentation en 2032 (14,5%), puis en baisse en 2050 (14,1%), contre 13,7% en 2021.
Le COR prévoit un déficit hypothétique en 2030 (7 à 10 milliards) sur un montant total de retraites versées aujourd'hui de 346 milliards. Cela représente l'augmentation récente du versement net de la France à l'Union européenne (de 5 à 12 milliards en quelques années), ou la moitié du coût financier annuel des millions de fausses cartes Vitale (20 milliards). Ce montant est également moindre lorsqu'il est comparé aux 15,9 milliards de surcoûts d'intérêts, payés en 2022, pour pallier la gestion honteuse de l'État des emprunts à taux variable indexés sur l'inflation.
Plutôt que de faire souffrir les retraités, et les sacrifier une nouvelle fois, chassons les vrais gaspillages financiers de la France.
Cette réforme ne vise pas à empêcher un déficit grave, mais tout simplement à réduire, sous l'influence de Bruxelles, la part de notre richesse nationale réservée à nos retraités, et à ouvrir un nouveau marché aux fonds de pension, pour compléter l'insuffisance future des retraites des Français.
2) Une réforme dangereuse : les retraités vont être paupérisés.
Comment, dans un pays qui licencie les seniors dès 55 ans, peut-on demander l'augmentation de l'âge légal de départ à la retraite, qui va contraindre une majorité des non retraités, entre 62 et 64 ans, à toucher les minimas sociaux?