Je ne comprends plus ce qui peut modifier à ce point le comportement des candidates aux élections municipales de la Réunion en cette année 2020.
Serait-ce un dérèglement du taux de cette hormone, jusqu’à présent réservée aux hommes, mais qui explose en ce moment chez les femmes politiques qui prétendent au mandat d’édile ?
Lors des débats de campagne télévisées de ces dernières semaines les candidates, sauf une, ont toutes fait montre d’une inédite agressivité. Elles n’ont pas pu argumenter autrement que de remettre dans le débat des basses attaques personnelles à la limite de la diffamation au lieu de parler en détail de leurs programmes avec bienveillance ce qui aurait surement eu plus de poids.
Ce comportement est étrangement similaire dans les interventions :
Bello (la femme qui ne sourit jamais et qui veut reprendre SON fauteuil !) VS Bénard,
Bareigts (mimiques irrespectueuses durant les interventions de son opposant) VS Robert, Bassire (programme un peu vide mais musclé) VS TAK,
M’Doihoma (un peu trop tendre) VS Amilcaro Hoarau (qui méritaient ces attaques frontales).
Certes les postes sont assez lucratifs et garantis pour 6 ans, mais comme si pour se présenter il fallait affirmer violemment son statut de femme et agresser un maximum pour avoir raison.
Faut-il être à ce point agressifs(ves) pour faire passer ses opinions ?
Ou bien alors il s’agit de vengeance ! Voudriez-vous reprendre aux hommes leurs plus vilains défauts.
Dicton actuel : Médisez, médisez il en restera toujours quelque chose.
Vous remarquerez tout de même que ces candidates occupent déjà des fonctions de députées ou plus même. A croire que la politique modifie définitivement le comportement social et humain.
Je suis bien déçu.
La seule candidate restée assez digne face à son adversaire (qui lui aussi a choisi le tacle bien appuyé) est Madame Miranville.
Bonne attitude Madame.
Serait-ce un dérèglement du taux de cette hormone, jusqu’à présent réservée aux hommes, mais qui explose en ce moment chez les femmes politiques qui prétendent au mandat d’édile ?
Lors des débats de campagne télévisées de ces dernières semaines les candidates, sauf une, ont toutes fait montre d’une inédite agressivité. Elles n’ont pas pu argumenter autrement que de remettre dans le débat des basses attaques personnelles à la limite de la diffamation au lieu de parler en détail de leurs programmes avec bienveillance ce qui aurait surement eu plus de poids.
Ce comportement est étrangement similaire dans les interventions :
Bello (la femme qui ne sourit jamais et qui veut reprendre SON fauteuil !) VS Bénard,
Bareigts (mimiques irrespectueuses durant les interventions de son opposant) VS Robert, Bassire (programme un peu vide mais musclé) VS TAK,
M’Doihoma (un peu trop tendre) VS Amilcaro Hoarau (qui méritaient ces attaques frontales).
Certes les postes sont assez lucratifs et garantis pour 6 ans, mais comme si pour se présenter il fallait affirmer violemment son statut de femme et agresser un maximum pour avoir raison.
Faut-il être à ce point agressifs(ves) pour faire passer ses opinions ?
Ou bien alors il s’agit de vengeance ! Voudriez-vous reprendre aux hommes leurs plus vilains défauts.
Dicton actuel : Médisez, médisez il en restera toujours quelque chose.
Vous remarquerez tout de même que ces candidates occupent déjà des fonctions de députées ou plus même. A croire que la politique modifie définitivement le comportement social et humain.
Je suis bien déçu.
La seule candidate restée assez digne face à son adversaire (qui lui aussi a choisi le tacle bien appuyé) est Madame Miranville.
Bonne attitude Madame.