La revendication reste la même: non au projet de réforme de Xavier Darcos, ministre de l’Education Nationale.
Une délégation de sept élèves a été reçu par le sous-préfet Thomas Campeaux, qui leur a promis de faire remonter leurs revendications jusqu’à Paris :"Le sous-Préfet n’est pas d’accord avec nous. Selon lui, il ne s’agit pas de supprimer l’enseignement des sciences économiques, mais seulement d’une réorganisation", déclare Samuel Maillot, élève en 1ère ES au lycée Louis Payen.
Cette même délégation a demandé à être reçue par Jean-Marc Gamarus, 1er adjoint au maire Huguette Bello, dans l’espoir d’obtenir un bus, et pouvoir aller au Rectorat demain. "Je partage leur sentiment concernant la suppression des matières aux lycées. Nous allons nous concerter, et voir ce que nous pouvons faire à notre niveau".
Quarante cinq minutes plus tard, Samuel Maillot dit ne pas avoir obtenu de bus de la part de la mairie :"La mairie dit ne pas avoir le pouvoir juridique pour nous fournir un bus. On va donc s’adresser à l’association des parents d’élèves qui nous soutiennent".
Les lycéens se concertent pour savoir s’ils vont poursuivre leur mouvement aujourd’hui.
Une délégation de sept élèves a été reçu par le sous-préfet Thomas Campeaux, qui leur a promis de faire remonter leurs revendications jusqu’à Paris :"Le sous-Préfet n’est pas d’accord avec nous. Selon lui, il ne s’agit pas de supprimer l’enseignement des sciences économiques, mais seulement d’une réorganisation", déclare Samuel Maillot, élève en 1ère ES au lycée Louis Payen.
Cette même délégation a demandé à être reçue par Jean-Marc Gamarus, 1er adjoint au maire Huguette Bello, dans l’espoir d’obtenir un bus, et pouvoir aller au Rectorat demain. "Je partage leur sentiment concernant la suppression des matières aux lycées. Nous allons nous concerter, et voir ce que nous pouvons faire à notre niveau".
Quarante cinq minutes plus tard, Samuel Maillot dit ne pas avoir obtenu de bus de la part de la mairie :"La mairie dit ne pas avoir le pouvoir juridique pour nous fournir un bus. On va donc s’adresser à l’association des parents d’élèves qui nous soutiennent".
Les lycéens se concertent pour savoir s’ils vont poursuivre leur mouvement aujourd’hui.