D’aspect extérieur, le nouveau Duster fait quand même un peu plus riche que ses sœurs
A l’intérieur l’esprit Dacia est bien présent, plastiques durs et coloris gris foncé ou noir, pas très réjouissant tout cela sauf que le mimimum y est et que tout le superflu a été sabré.
Certes on retrouve des vitres électriques mais pas de commande séquentielle, oui à la climatisation mais mécanique et ainsi de suite… Nous sommes dans un véhicule pratique mais sans luxe ostentatoire et surtout avec une motorisation 1,5L DCI à l’appétit d’oiseau et à la tonicité affirmée.
Côté comportement routier, le modèle 2×4 de 110cv montrait un bel enthousiasme fruit de plus de 4 millions de tests routiers avant le lancement sur le marché. Châssis traité anti corrosion, graisse injectée dans la tôlerie, mastic sur toutes les jointures de carrosserie, tout est fait pour que ce Duster s’inscrive dans le temps.
Le rapport qualité/prix est imbattable, le secret étant d’avoir puisé aussi bien chez Renault que Dacia ou Nissan pour les éléments de carrosserie, de motorisation ou de transmission.
Le low-cost n’impliquant pas la retenue absolue, on notera une version avec sellerie cuir pour un tarif vraiment contenu. La version 4×4 dispose de trois positions : deux roues motrices, automatique (traction avant + roues arrière en cas de nécessité) et 4×4 total pour terrain gras.
Le Dacia Duster est disponible en 2 ou 4 roues motrices, motorisation essence 1,6L, 110cv à partir de 16 650 euros. Diesel DCI 85 cv (à partir de 18 400 euros), 135gr de cO2, 5,1L/100km et 110cv à partir de 23 100 euros, 145gr de CO2, 5,6L/100km. Une version + est même dispo avec le cuir (23 900 euros). Enfin il est possible d’étendre la garantie à 4ans/100 000kms !