Neuf magistrats témoignent de leur expérience Corse, entre "emprise mafieuse" et "ambiguïtés de l’État". "Juges en Corse", c’est le titre du livre qui sort ce mercredi et qui contient les récits de magistrats du parquet et juges d’instruction qui ont exercé en Corse ces deux dernières décennies.
Parmi eux, des visages connus des Réunionnais, comme celui de Bernard Legras, ancien procureur de la République à La Réunion, et Patrice Camberou, qui quitte son poste de secrétaire général de la cour d’appel de Saint-Denis pour prendre la tête du parquet de Draguignan.
Bernard Legras, ce procureur connu pour avoir "nettoyé" La Réunion dans les années 90, n'hésitant pas à faire suivre de nombreuses affaires, notamment de corruption dans le monde politique. C’est en 1998 qu’il est nommé procureur général à Bastia et travaille avec des magistrats venus eux aussi de La Réunion.
Sous la plume de Jean-Michel Verne, journaliste d’investigation, ces trois juges et six procureurs retracent plus de 25 ans de lutte contre la criminalité dans l'Ile de beauté, entre crime organisé, grand banditisme, mouvement nationaliste, pression de la mafia, mais aussi le rôle parfois "ambigu" de l’État.
Parmi eux, des visages connus des Réunionnais, comme celui de Bernard Legras, ancien procureur de la République à La Réunion, et Patrice Camberou, qui quitte son poste de secrétaire général de la cour d’appel de Saint-Denis pour prendre la tête du parquet de Draguignan.
Bernard Legras, ce procureur connu pour avoir "nettoyé" La Réunion dans les années 90, n'hésitant pas à faire suivre de nombreuses affaires, notamment de corruption dans le monde politique. C’est en 1998 qu’il est nommé procureur général à Bastia et travaille avec des magistrats venus eux aussi de La Réunion.
Sous la plume de Jean-Michel Verne, journaliste d’investigation, ces trois juges et six procureurs retracent plus de 25 ans de lutte contre la criminalité dans l'Ile de beauté, entre crime organisé, grand banditisme, mouvement nationaliste, pression de la mafia, mais aussi le rôle parfois "ambigu" de l’État.