"Je n’avais jamais pensé que partager ma passion me ferait vivre ce genre de situation. Une situation d’impuissance et de vulnérabilité. Je n’ai plus les mots face à ces actes. Le cyber harcèlement n’est pas quelque chose à prendre à la légère."
Il est en effet difficile d’imaginer qu’une jeune Réunionnaise peut devenir la cible de la haine sexiste d’un certain nombre d’internautes, pour la simple et bonne raison qu’elle publie des photos et des vidéos sur le thème du sport.
C’est pourtant le cas, et elle est loin d’être la seule.
Parce qu’elle pose en maillot de bain, en short ou en brassière, des hommes la traitent de "salope" de "sale prostituée", et se permettent des avances écoeurantes voire menaçantes : "je te bouffe", "enlève ta culotte fait voir bb", ou encore "ça suffit pour aujourd’hui demain je viens vous chercher de bonne heure".
Julie Legros, influenceuse et coach fitness, dénonce aujourd’hui ces comportements intolérables en publiant sur sa page Facebook des captures d’écran de ces messages:
"Vous n’avez pas idée à quel point c’est humiliant, à quel point cela me répugne. Bien sûr j’aimerais vous dire que je reste forte mais imaginez ce que cela me projette.
Tout cela parce que j’avais un short hier soir? Tout cela parce que je suis en brassière ?"
À noter que les auteurs de ces commentaires encourent jusqu’à 2 ans de prison et 30.000 euros d’amende, le cyber harcèlement constituant un délit dans la loi française.
Il est en effet difficile d’imaginer qu’une jeune Réunionnaise peut devenir la cible de la haine sexiste d’un certain nombre d’internautes, pour la simple et bonne raison qu’elle publie des photos et des vidéos sur le thème du sport.
C’est pourtant le cas, et elle est loin d’être la seule.
Parce qu’elle pose en maillot de bain, en short ou en brassière, des hommes la traitent de "salope" de "sale prostituée", et se permettent des avances écoeurantes voire menaçantes : "je te bouffe", "enlève ta culotte fait voir bb", ou encore "ça suffit pour aujourd’hui demain je viens vous chercher de bonne heure".
Julie Legros, influenceuse et coach fitness, dénonce aujourd’hui ces comportements intolérables en publiant sur sa page Facebook des captures d’écran de ces messages:
"Vous n’avez pas idée à quel point c’est humiliant, à quel point cela me répugne. Bien sûr j’aimerais vous dire que je reste forte mais imaginez ce que cela me projette.
Tout cela parce que j’avais un short hier soir? Tout cela parce que je suis en brassière ?"
À noter que les auteurs de ces commentaires encourent jusqu’à 2 ans de prison et 30.000 euros d’amende, le cyber harcèlement constituant un délit dans la loi française.