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Critiques systématiques et opportunisme : la recette de Nabénésa

Dans la liste des opportunistes, j’appelle la refoulée de Sainte-Suzanne, Karine Nabénésa. Par ses manipulations, la madame se fait élire conseillère régionale en 2015, au grand dam de militants fidèles, engagés depuis longtemps au LPA et qui eux sont restés sur le carreaux. La-bas, à la région, elle est dans la critique systématique de Didier […]

Ecrit par Le Saint-Leusien – le lundi 02 mars 2020 à 08H15

Dans la liste des opportunistes, j’appelle la refoulée de Sainte-Suzanne, Karine Nabénésa.

Par ses manipulations, la madame se fait élire conseillère régionale en 2015, au grand dam de militants fidèles, engagés depuis longtemps au LPA et qui eux sont restés sur le carreaux.

La-bas, à la région, elle est dans la critique systématique de Didier Robert. Son bilan c’est le double exploit : réduire le groupe d’élus qu’elle dirigea à peau de chagrin et se faire virer de la commission permanente.

En 2017, la madame tente le pari absurde de la législative en 2017 sur Saint-Denis. Sa stratégie : le dénigrement systématique de l’ex-ministre, Ericka Bareigts. La population ne lui accorde guère de crédit : à peine 3,4 % des suffrages exprimés.

De son passage à Saint-Leu, personne ne garde un bon souvenir : une personne hautaine, protégée de l’ancien Maire, pas de Saint-Leu, qui ne dit pas bonjour et payée une fortune à faire pas grand chose. Sa personnalité bling bling ne pouvait pas coller avec le tempérament du maire actuel, simple, travailleur et modeste.

Début 2019, elle quitte brusquement ses fonctions et retourne à la Cinor. Là-bas, elle fait les yeux doux à Gérald Maillot et convoite le poste d’une brave collègue DGA en arrêt maladie. Sans foi, ni loi, elle parvient à atteindre son objectif. L’affaire est devant la justice.

Début d’année, tout aussi inopinément, elle apparaît aux côtés du PLR, comme si elle pouvait rivaliser avec une Huguette Bello. Et comme si elle y avait vu de la lumière pour se décider à y entrer, elle s’affiche aussi en soutien, au meeting de Joé Bédier à Saint-André.

A Saint-Leu, elle déclare d’abord qu’elle ne sera pas la candidate de Thierry Robert, refusant « d’être l’instrument d’hommes politiques aveuglés par la seule volonté de faire perdre« . Elle se décide finalement à soutenir la candidate de Thierry Robert, Sylvie Comorassamy. Visiblement, qu’une autre femme soit l’instrument d’hommes politiques aveuglés ne la gêne pas. Elle le cautionne même ouvertement en acceptant d’être colistière.

Que d’hypocrisies. La même hypocrisie, c’est attaquer Bruno Domen sur le large rassemblement qu’il a réussi à faire et soutenir une liste composée de l’ancien 1er adjoint de Jean Luc Poudroux ou encore un promoteur immobilier aussi incompétent que Thierry Robert.

La critique systématique et facile c’est sa marque de fabrique à Karine Nabénésa. En réalité, obnubilée à chaque fois par son intérêt personnel, elle n’a aucune leçon à donner à la classe politique locale tant qu’elle n’aura pas su faire réellement ses preuves. Celle qui se considère Saint-Leusienne et femme politique, n’est en réalité ni l’une ni l’autre. Elle excelle toutefois, il faut le reconnaître, dans l’opportunisme.

 

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