En cette fin d’année, Joseph Sinimalé a tenu ce jeudi à faire un point sur la gestion de la crise requin sur la commune de St-Paul. Depuis jeudi dernier la baignade est à nouveau possible sur la plage des Roches Noires. Un nouveau filet temporaire y a été installé.
"Nous sommes dans une période de transition. Le dispositif que nous avons mis en place à Roches Noires la semaine dernière est provisoire", a-t-il rappelé. Une assistance à maîtrise d’ouvrage devrait être lancée début janvier pour une durée de 6 mois. L’entreprise choisie devra présenter son travail pour le 30 juin 2018 afin de permettre la sécurisation des plages de Roches Noires et Boucan Canot. La demande a été remise en main propre par Joseph Sinimalé à Annick Girardin, ministre des Outre-mer, la semaine dernière. "La balle est dans le camp de l’État", a exhorté le maire de St-Paul.
Au niveau local, la commune projette de lancer l’installation de sonars avec pour commencer une expérimentation à Boucan Canot en début d’année, à laquelle viendront s’ajouter 5 cameras installées sur des palangres. "Il faudra recruter 90 plongeurs en vigie", a précisé Joseph Sinimalé.
Le maire de Saint-Paul souhaite également créer une école d’apprentissage pour les surfeurs et anticiper la volonté de la Région de construire un lycée de la mer implanté dans l’ouest.
"Mais pour tous ces projets il faut des financements", et "notre budget 2018 est contraint, surtout avec les reformes fiscales qui s'annoncent. Voilà pourquoi je dis que la balle est dans le camp de l’État", a insisté le maire de St-Paul. "La commune de St-Paul ne peut être seule à porter les projets de la gestion du risque requin. Nous finançons aujourd’hui le CRA à hauteur de 50.000 euros, la Réserve marine 100.000 euros avec le TCO, les programmes Cap requin 85.000 euros et les projets de sécurisation de nos plages 3 millions. Notre effort financier dans ce dossier est important", termine Joseph Sinimalé.
"Nous sommes dans une période de transition. Le dispositif que nous avons mis en place à Roches Noires la semaine dernière est provisoire", a-t-il rappelé. Une assistance à maîtrise d’ouvrage devrait être lancée début janvier pour une durée de 6 mois. L’entreprise choisie devra présenter son travail pour le 30 juin 2018 afin de permettre la sécurisation des plages de Roches Noires et Boucan Canot. La demande a été remise en main propre par Joseph Sinimalé à Annick Girardin, ministre des Outre-mer, la semaine dernière. "La balle est dans le camp de l’État", a exhorté le maire de St-Paul.
Au niveau local, la commune projette de lancer l’installation de sonars avec pour commencer une expérimentation à Boucan Canot en début d’année, à laquelle viendront s’ajouter 5 cameras installées sur des palangres. "Il faudra recruter 90 plongeurs en vigie", a précisé Joseph Sinimalé.
Le maire de Saint-Paul souhaite également créer une école d’apprentissage pour les surfeurs et anticiper la volonté de la Région de construire un lycée de la mer implanté dans l’ouest.
"Mais pour tous ces projets il faut des financements", et "notre budget 2018 est contraint, surtout avec les reformes fiscales qui s'annoncent. Voilà pourquoi je dis que la balle est dans le camp de l’État", a insisté le maire de St-Paul. "La commune de St-Paul ne peut être seule à porter les projets de la gestion du risque requin. Nous finançons aujourd’hui le CRA à hauteur de 50.000 euros, la Réserve marine 100.000 euros avec le TCO, les programmes Cap requin 85.000 euros et les projets de sécurisation de nos plages 3 millions. Notre effort financier dans ce dossier est important", termine Joseph Sinimalé.