On donne la parole aux banques, aux dirigeants d’entreprises, aux syndicats…Nous avons souhaité, un fois n’est pas coutume, permettre à d’autres milieux à priori moins concernés par le contexte de crise économique, de s’exprimer.
Autant lier l’utile à l’agréable, c’est en discothèque que nous nous sommes rendus. Que pensent les noctambules de la crise financière ?
Vincent, 23 ans, a du mal à joindre les deux bouts: "C’est sûr, c’est chaud niveau tune. On essaie d’avoir le maximum en dépensant le moins possible pour continuer à s’amuser. C’est pas évident donc forcément je sors un peu moins". Son amie, Emilie, ajoute même que sa fréquentation des bars et boites a baissé de moitié.
Plus loin, accoudé au bar, un couple boit un verre: "On a un budget prévu pour les sorties et on s’en tient à cela. Si ca augmente on consomme moins, tout simplement".
Shelly, la barmaid, ne peut pas se plaindre de la cadence de son service. Néanmoins, elle et son équipe ressentent les effets de la crise: "Depuis quelques mois, le nombre d’entrées et les consommations ont diminué. En revanche, les habitués continuent de fréquenter Le Loft et de nous soutenir dans un contexte difficile", affirme-t-elle.
Ce week-end, et particulièrement ce vendredi soir avec la fête d’Halloween, les discothèques devraient voir affluer les fêtards même si ces derniers joueront avec leur portefeuille en toute modération…
(Reportage (images) réalisé avec la collaboration de Rebecca Mangin)
Autant lier l’utile à l’agréable, c’est en discothèque que nous nous sommes rendus. Que pensent les noctambules de la crise financière ?
Vincent, 23 ans, a du mal à joindre les deux bouts: "C’est sûr, c’est chaud niveau tune. On essaie d’avoir le maximum en dépensant le moins possible pour continuer à s’amuser. C’est pas évident donc forcément je sors un peu moins". Son amie, Emilie, ajoute même que sa fréquentation des bars et boites a baissé de moitié.
Plus loin, accoudé au bar, un couple boit un verre: "On a un budget prévu pour les sorties et on s’en tient à cela. Si ca augmente on consomme moins, tout simplement".
Shelly, la barmaid, ne peut pas se plaindre de la cadence de son service. Néanmoins, elle et son équipe ressentent les effets de la crise: "Depuis quelques mois, le nombre d’entrées et les consommations ont diminué. En revanche, les habitués continuent de fréquenter Le Loft et de nous soutenir dans un contexte difficile", affirme-t-elle.
Ce week-end, et particulièrement ce vendredi soir avec la fête d’Halloween, les discothèques devraient voir affluer les fêtards même si ces derniers joueront avec leur portefeuille en toute modération…
(Reportage (images) réalisé avec la collaboration de Rebecca Mangin)