Les responsables syndicaux expliquent que les agriculteurs sont exaspérés et qu’ils veulent se faire entendre des pouvoirs publics, des élus et des industriels.
Il demande aux automobilistes qui pourraient être impactés par les mouvements de grogne d’être patients : « On est vraiment désolé de ce qui arrive. On a pas le choix ! Vous avez vu, on a fait plusieurs réunions, on aboutit à rien. On appelle les élus à nous soutenir, peut-être qu’ils pourront débloquer cette situation. On ne sait pas quoi faire. C’est la seule solution qu’on a. »
Les syndicalistes expliquent que la tension est forte et que les agriculteurs souhaitent obtenir gain de cause le plus vite possible afin de retourner dans leurs champs et commencer le travail.