
Sur le terrain, la CFDT rejointe par la CGTR, continue à mobiliser les salariés. Une réunion s’est déroulée tout à l’heure. Chacun affûte ses arguments en attendant, peut-être pour demain, la désignation d’un médiateur.
“Vendredi, nous avons demandé la médiation de l’Inspection du travail”, déclare Jean-Paul Ferrère, délégué syndical de la CFDT. La Direction départementale du travail et de l’emploi a sollicité le jour même le Crédit agricole. Mais pour l’heure, c’est le statu quo.
Chaque partie campe sur ses positions. Les revendications des grévistes n’ont pas changé. “Nous demandons une amélioration des relations sociales. D’une part, nous voulons être écoutés, d’autre part, nous voulons que soit pris en compte certains éléments efficaces dans la bonne marche de l’entreprise”.
Les grévistes réclament également de meilleures conditions de travail. “Nous sommes en sous-effectif. Les employés effectuent un grand nombre d’heures supplémentaires. Il y a là du travail pour une trentaine de personnes”.
L’ouverture des négociations salariales est la troisième revendication. “Nous avons le droit à une meilleure répartition des richesses. Nous avons contribué à la bonne santé de notre entreprise, c’est normal que les travailleurs en tirent aussi un bénéfice”. Les grévistes veulent 300 € nets d’augmentation de salaire.
Pour l’heure, la direction n’a pas encore répondu. Toutefois, les premières discussions devraient débuter demain, sans doute au Parc Jean de Cambiaire, là où se trouve le piquet de grève. Les négociations s’annoncent âpres et animées...
“Vendredi, nous avons demandé la médiation de l’Inspection du travail”, déclare Jean-Paul Ferrère, délégué syndical de la CFDT. La Direction départementale du travail et de l’emploi a sollicité le jour même le Crédit agricole. Mais pour l’heure, c’est le statu quo.
Chaque partie campe sur ses positions. Les revendications des grévistes n’ont pas changé. “Nous demandons une amélioration des relations sociales. D’une part, nous voulons être écoutés, d’autre part, nous voulons que soit pris en compte certains éléments efficaces dans la bonne marche de l’entreprise”.
Les grévistes réclament également de meilleures conditions de travail. “Nous sommes en sous-effectif. Les employés effectuent un grand nombre d’heures supplémentaires. Il y a là du travail pour une trentaine de personnes”.
L’ouverture des négociations salariales est la troisième revendication. “Nous avons le droit à une meilleure répartition des richesses. Nous avons contribué à la bonne santé de notre entreprise, c’est normal que les travailleurs en tirent aussi un bénéfice”. Les grévistes veulent 300 € nets d’augmentation de salaire.
Pour l’heure, la direction n’a pas encore répondu. Toutefois, les premières discussions devraient débuter demain, sans doute au Parc Jean de Cambiaire, là où se trouve le piquet de grève. Les négociations s’annoncent âpres et animées...