La préfecture et l’agence régionale de santé de La Réunion confirment la contamination par le variant VOC 2020 dit variant britannique d’un patient réunionnais. La personne est un Réunionnais ayant séjourné en métropole durant ses congés (au milieu du mois de janvier) et qui est rentré sur le territoire le 22 janvier dernier.
Souffrant ensuite de certains symptômes, il avait réalisé un dépistage qui s’est avéré positif. Le contact tracing avait été effectué et la personne avait été isolée. Il a depuis été déclaré guéri par les professionnels de santé qui l’accompagnent.
S’agissant du variant 501Y.V2 dit variant sud-africain, aucun nouveau cas n’a été confirmé par les séquençages effectués. Ce sont donc toujours 9 cas de ce variant qui ont été documentés à La Réunion, l’un des patients atteints par ce variant étant par ailleurs décédé.
Cette confirmation à La Réunion de la présence du variant britannique, dont on sait sa plus grande contagiosité, impose une extrême vigilance de tous les Réunionnaises et les Réunionnais : plus que jamais, les gestes barrières doivent être respectés.
Souffrant ensuite de certains symptômes, il avait réalisé un dépistage qui s’est avéré positif. Le contact tracing avait été effectué et la personne avait été isolée. Il a depuis été déclaré guéri par les professionnels de santé qui l’accompagnent.
S’agissant du variant 501Y.V2 dit variant sud-africain, aucun nouveau cas n’a été confirmé par les séquençages effectués. Ce sont donc toujours 9 cas de ce variant qui ont été documentés à La Réunion, l’un des patients atteints par ce variant étant par ailleurs décédé.
Cette confirmation à La Réunion de la présence du variant britannique, dont on sait sa plus grande contagiosité, impose une extrême vigilance de tous les Réunionnaises et les Réunionnais : plus que jamais, les gestes barrières doivent être respectés.
Le premier cas détecté en France date du 25 décembre
Le 14 décembre 2020, Matt Hancock, le ministre britannique de la Santé annonçait au monde qu’une nouvelle variante du virus venait d’être découverte dans le sud-Est du pays. Très vite, de nombreux clusters sont identifiés dans tout le royaume et en Italie. D’autres mutations ont par la suite été détectées en Afrique du Sud et au Japon. Des mutations qui inquiètent beaucoup les scientifiques par leur contagiosité.
En France, le premier cas du variant anglais a été détecté le 25 décembre, à Tours. Il s'agissait d'un homme de nationalité française résidant en Angleterre. Plusieurs clusters ont été identifiés par la suite. Début janvier, les autorités sanitaires estimaient que le variant anglais représentait 1% des cas.
Cette mutation inquiète concernant la campagne de vaccination actuellement en cours. Les premiers vaccins sont-ils efficaces face à cette mutation? Une nouvelle qui devrait faire réagir les autorités sanitaires de l’île.