Le Premier ministre a tout d'abord détaillé la situation sanitaire en métropole qui n'est pas satisfaisante. La barre des 5.000 contaminations par jour ne sera pas atteinte au 15 décembre, le seuil fixé par le président de la République pour passer à la 2e phase du déconfinement.
Jean Castex a expliqué que la métropole serait tout de même déconfinée mais que les règles prévues pour le reste de l'année seraient plus strictes que prévues. Ainsi, le couvre-feu a été avancé à 20 heures et les dérogations seront plus limitées. Alors que les déplacements seront autorisés la veille de Noël, ils seront interdits pour la Saint-Sylvestre. Les métropolitains seront donc obligés de rester chez eux pour le passage à l'année 2021.
Pour ce qui est de La Réunion, il n'y aura pas de couvre-feu sur notre île, a précisé le Gouvernement. La levée des motifs impérieux le 15 décembre n'a pas été remise en question. Le Préfet de La Réunion doit cependant confirmer que la situation sanitaire sur notre île ne l'oblige pas à prolonger cette mesure.
Les annonces :
- Déconfinement de la métropole au 15 décembre
- Couvre-feu en métropole dès 20 heures, les possibilités de dérogations seront limitées
- Les établissements recevant du public resteront fermés 3 semaines supplémentaires
Pour les fêtes (en métropole)
- Le couvre-feu concernera le Réveillon du 31 décembre
- Les bars et les restaurants resteront fermés le 31 décembre
- Les déplacements autorisés pour le Réveillon de Noël
Pour les Outre-Mer
- Pas de couvre-feu pour les Outre-Mer
- Les déplacements entre régions seront autorisés dès le 15 décembre: Les motifs impérieux seront donc levés sauf si la situation sanitaire ne le permet pas à La Réunion.
La situation s'améliore
"C'est aujourd'hui, en France, que la situation a le mieux évolué en 6 semaines. C'est en France que l'épidémie est la mieux gérée parmi nos voisins européens. Je m'en réjouis pour nos soignants. La situation reste compliquée dans certaines régions."
Les chiffres de l'épidémie
"La prévalence du Coronavirus est de 107 cas pour 100.000 habitants en France."
Un plateau épidémique
"Les contaminations vont légèrement à la hausse. Comment l'expliquer ? Par un allègement des mesures ? Mais l'on voit qu'il se passe la même chose chez nos voisins."
Risque d'une reprise de la 2e vague
Le ministre de la Santé évoque un "relâchement", mais aussi le facteur climatique: "Les éléments climatiques pourraient expliquer des niveaux d'incidence plus faibles en Bretagne qu'en Savoie." Il explique: "Nous n'atteignons pas les 5.000 cas par jour au 15 décembre."
Il évoque le risque de la reprise de la 2e vague si "nous ne changeons pas les choses".
Stratégie de vaccination
Celle-ci se divise en plusieurs phases :
D'abord, entre décembre et février, les personnes à risque: Les personnes âgées résidant en établissements (ex. Ehpad) et les professionnels y exerçant et présentant un risque élevé (plus de 65 ans, ou pathologies).
Puis la phase 2 en mars: les personnes âgées de plus de 75 ans, puis les personnes âgées de plus de 65 ans et atteints de pathologies, ainsi que les professionnels de santé et du médico-social de plus de 50 ans et atteints de pathologies.
Et enfin la phase 3: les autres tranches de la population susceptibles d’être infectées et non ciblées antérieurement.
Jean Castex a expliqué que la métropole serait tout de même déconfinée mais que les règles prévues pour le reste de l'année seraient plus strictes que prévues. Ainsi, le couvre-feu a été avancé à 20 heures et les dérogations seront plus limitées. Alors que les déplacements seront autorisés la veille de Noël, ils seront interdits pour la Saint-Sylvestre. Les métropolitains seront donc obligés de rester chez eux pour le passage à l'année 2021.
Pour ce qui est de La Réunion, il n'y aura pas de couvre-feu sur notre île, a précisé le Gouvernement. La levée des motifs impérieux le 15 décembre n'a pas été remise en question. Le Préfet de La Réunion doit cependant confirmer que la situation sanitaire sur notre île ne l'oblige pas à prolonger cette mesure.
Les annonces :
- Déconfinement de la métropole au 15 décembre
- Couvre-feu en métropole dès 20 heures, les possibilités de dérogations seront limitées
- Les établissements recevant du public resteront fermés 3 semaines supplémentaires
Pour les fêtes (en métropole)
- Le couvre-feu concernera le Réveillon du 31 décembre
- Les bars et les restaurants resteront fermés le 31 décembre
- Les déplacements autorisés pour le Réveillon de Noël
Pour les Outre-Mer
- Pas de couvre-feu pour les Outre-Mer
- Les déplacements entre régions seront autorisés dès le 15 décembre: Les motifs impérieux seront donc levés sauf si la situation sanitaire ne le permet pas à La Réunion.
La situation s'améliore
"C'est aujourd'hui, en France, que la situation a le mieux évolué en 6 semaines. C'est en France que l'épidémie est la mieux gérée parmi nos voisins européens. Je m'en réjouis pour nos soignants. La situation reste compliquée dans certaines régions."
Les chiffres de l'épidémie
"La prévalence du Coronavirus est de 107 cas pour 100.000 habitants en France."
Un plateau épidémique
"Les contaminations vont légèrement à la hausse. Comment l'expliquer ? Par un allègement des mesures ? Mais l'on voit qu'il se passe la même chose chez nos voisins."
Risque d'une reprise de la 2e vague
Le ministre de la Santé évoque un "relâchement", mais aussi le facteur climatique: "Les éléments climatiques pourraient expliquer des niveaux d'incidence plus faibles en Bretagne qu'en Savoie." Il explique: "Nous n'atteignons pas les 5.000 cas par jour au 15 décembre."
Il évoque le risque de la reprise de la 2e vague si "nous ne changeons pas les choses".
Stratégie de vaccination
Celle-ci se divise en plusieurs phases :
D'abord, entre décembre et février, les personnes à risque: Les personnes âgées résidant en établissements (ex. Ehpad) et les professionnels y exerçant et présentant un risque élevé (plus de 65 ans, ou pathologies).
Puis la phase 2 en mars: les personnes âgées de plus de 75 ans, puis les personnes âgées de plus de 65 ans et atteints de pathologies, ainsi que les professionnels de santé et du médico-social de plus de 50 ans et atteints de pathologies.
Et enfin la phase 3: les autres tranches de la population susceptibles d’être infectées et non ciblées antérieurement.