"On est en état d’alerte, il y a une incidence, un nombre de contaminations qui a augmenté très fortement encore la dernière semaine, quasiment + 50 %", a déclaré Gabriel Attal hier. Le porte-parole du gouvernement a toutefois précisé qu’"aucun confinement n’est prévu aujourd’hui, ni de près ni de loin", même s’il a évoqué une "vigilance absolue" et indiqué qu’il "ne faut jamais rien exclure par principe".
Gabriel Attal a souligné que des motifs pour être confiants sont présents, comme le taux élevé de vaccination de la population. Il a également affirmé que la situation en France "est moins dégradée que nos voisins". "Il faut que l’immunité conférée par le vaccin se poursuive et donc que les Français éligibles fassent leur rappel de vaccination", a-t-il insisté.
Il a annoncé que la troisième dose pour les plus de 50 ans devient possible en décembre. Le secrétaire d’État a rappelé que cette troisième dose ne rentrait pas dans le pass sanitaire actuellement, mais qu’"il y aurait une logique à ce que, à partir d’un certain moment, ça rentre dans le pass", comme pour les plus de 65 ans à compter du 15 décembre. "On a érigé une muraille grâce au vaccin, il faut éviter qu'elle se fissure", a-t-il conclu.
Gabriel Attal a souligné que des motifs pour être confiants sont présents, comme le taux élevé de vaccination de la population. Il a également affirmé que la situation en France "est moins dégradée que nos voisins". "Il faut que l’immunité conférée par le vaccin se poursuive et donc que les Français éligibles fassent leur rappel de vaccination", a-t-il insisté.
Il a annoncé que la troisième dose pour les plus de 50 ans devient possible en décembre. Le secrétaire d’État a rappelé que cette troisième dose ne rentrait pas dans le pass sanitaire actuellement, mais qu’"il y aurait une logique à ce que, à partir d’un certain moment, ça rentre dans le pass", comme pour les plus de 65 ans à compter du 15 décembre. "On a érigé une muraille grâce au vaccin, il faut éviter qu'elle se fissure", a-t-il conclu.