La violente altercation qui s'est produite dimanche aux Camélias a envoyé l'un des protagonistes à l'hôpital. Deux autres étaient devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis ce mercredi. Mais le procès n'a pas eu lieu, les juges ont demandé une ouverture d'information judiciaire car la blessure grave dont souffre la victime hospitalisée pourrait lui laisser des séquelles à vie.
La dispute a éclaté tôt dimanche matin aux alentours de 7 heures. Un homme et son dalon sont venus en découdre avec une troisième personne. Après quelques échanges musclés et des premières violences, plusieurs coups de sabre sont assénés à la victime.
Le premier accusé, âgé de 22 ans, soupçonné d'avoir donné les coups de sabre, comparaissait pour violence avec arme en réunion et en récidive. Il était accompagné de son dalon de 29 ans, lui, poursuivi pour des faits de violence en réunion.
"Si tous les cocus devaient régler les problèmes à coups de sabre..."
L'origine de la dispute serait une querelle amoureuse. L'un des hommes se serait rapproché de la femme de son adversaire dominical.
"Que reproche-t-il à mon client ? D'avoir séduit sa femme ? Et alors ? Si maintenant tous les cocus devaient régler tous les problèmes à coups de sabre ! Moi, je deviendrais forgeron !" s'exclame l'avocat de la victime.
Un des protagonistes au bloc opératoire
Le bâtonnier Maître Georges-André Hoarau est l'avocat de la partie civile. Son client est encore à l'hôpital et subit une troisième opération chirurgicale. Touchée à la tête, la victime souffre aussi de la main. 90 jours d'interruption totale de travail lui ont été octroyés.
"Les nerfs ont été sectionnés et la victime risque fortement de perdre l'usage de ses doigts. Cela est alors une infirmité permanente et l'affaire doit alors être jugée devant la Cour d'Assises", explique l'avocat.
Un procès devant la Cour d'Assises ?
L'avocat de la partie civile a donc demandé l'ouverture d'une instruction, ce qui repousse la tenue d'un procès qui pourrait - selon les séquelles de la victime - se dérouler à la Cour d'Assises.
L'auteur des coups de sabre est donc présenté devant le juge des libertés et de la détention tout comme son complice. Il sera alors fixé sur son sort dans l'attente de la fin de l'enquête judiciaire et du procès qui en découlera.
La dispute a éclaté tôt dimanche matin aux alentours de 7 heures. Un homme et son dalon sont venus en découdre avec une troisième personne. Après quelques échanges musclés et des premières violences, plusieurs coups de sabre sont assénés à la victime.
Le premier accusé, âgé de 22 ans, soupçonné d'avoir donné les coups de sabre, comparaissait pour violence avec arme en réunion et en récidive. Il était accompagné de son dalon de 29 ans, lui, poursuivi pour des faits de violence en réunion.
"Si tous les cocus devaient régler les problèmes à coups de sabre..."
L'origine de la dispute serait une querelle amoureuse. L'un des hommes se serait rapproché de la femme de son adversaire dominical.
"Que reproche-t-il à mon client ? D'avoir séduit sa femme ? Et alors ? Si maintenant tous les cocus devaient régler tous les problèmes à coups de sabre ! Moi, je deviendrais forgeron !" s'exclame l'avocat de la victime.
Un des protagonistes au bloc opératoire
Le bâtonnier Maître Georges-André Hoarau est l'avocat de la partie civile. Son client est encore à l'hôpital et subit une troisième opération chirurgicale. Touchée à la tête, la victime souffre aussi de la main. 90 jours d'interruption totale de travail lui ont été octroyés.
"Les nerfs ont été sectionnés et la victime risque fortement de perdre l'usage de ses doigts. Cela est alors une infirmité permanente et l'affaire doit alors être jugée devant la Cour d'Assises", explique l'avocat.
Un procès devant la Cour d'Assises ?
L'avocat de la partie civile a donc demandé l'ouverture d'une instruction, ce qui repousse la tenue d'un procès qui pourrait - selon les séquelles de la victime - se dérouler à la Cour d'Assises.
L'auteur des coups de sabre est donc présenté devant le juge des libertés et de la détention tout comme son complice. Il sera alors fixé sur son sort dans l'attente de la fin de l'enquête judiciaire et du procès qui en découlera.