Les faits remontent au 27 septembre 2021 sur la commune de Saint-André, près du Domaine de la Vanille, rue de la Gare.
Une bagarre avait éclaté entre deux trentenaires. Le premier était alcoolisé, avait donné deux claques et insulté la mère du second. C'est alors que ce dernier a sorti un couteau et a porté deux coups au bas ventre de la victime, ce qui a provoqué 10 jours d'interruption temporaire de travail. L'agresseur présumé, Eric M., dit Tenaille avait consommé huit cachets d’Artane ce jour-là.
L’expert qui l’a examiné a relevé une déficience légère et des propos parfois peu cohérents, aggravés par la consommation de nombreux stupéfiants et médicaments. Il insiste sur une dangerosité et des troubles de la personnalité pouvant le faire passer à l’acte de façon impulsive. Il a conclu à une altération du discernement au moment du passage à l’acte. Tenaille était sorti depuis 5 mois de sa neuvième incarcération au moment des faits.
La représentante de la société requiert 8 mois de prison et un placement immédiat derrière les barreaux. Elle décrit un homme "qui ne sait pas canaliser sa violence" ainsi qu’un "geste disproportionné à l’égard de la victime".
Le tribunal a suivi les réquisitions, l'homme a été placé sous les verrous.
Une bagarre avait éclaté entre deux trentenaires. Le premier était alcoolisé, avait donné deux claques et insulté la mère du second. C'est alors que ce dernier a sorti un couteau et a porté deux coups au bas ventre de la victime, ce qui a provoqué 10 jours d'interruption temporaire de travail. L'agresseur présumé, Eric M., dit Tenaille avait consommé huit cachets d’Artane ce jour-là.
L’expert qui l’a examiné a relevé une déficience légère et des propos parfois peu cohérents, aggravés par la consommation de nombreux stupéfiants et médicaments. Il insiste sur une dangerosité et des troubles de la personnalité pouvant le faire passer à l’acte de façon impulsive. Il a conclu à une altération du discernement au moment du passage à l’acte. Tenaille était sorti depuis 5 mois de sa neuvième incarcération au moment des faits.
La représentante de la société requiert 8 mois de prison et un placement immédiat derrière les barreaux. Elle décrit un homme "qui ne sait pas canaliser sa violence" ainsi qu’un "geste disproportionné à l’égard de la victime".
Le tribunal a suivi les réquisitions, l'homme a été placé sous les verrous.