
Les supporters de la JSSP, après avoir découvert le nom du futur adversaire de leur équipe pour les 16es de finale de la coupe de France, auraient pu rêver de voir débarquer de métropole une équipe professionnelle et ses stars. Sur ce point, le règlement de la Fédération de Française de Football est très clair.
Pour le match de ces 16es de finale, ce sont les Spinaliens qui étaient opposés à la JSSP. Lorsque deux équipes sont séparées par au moins deux divisions d'écart, Épinal évoluant en N2 (Nationale 2) et la JSSP en DH (Division d'Honneur) - en l'état 4 divisions - le règlement de la Coupe de France prévoit en effet que le club situé à au moins 2 niveaux d'écart par rapport à son adversaire puisse avoir le bénéfice de recevoir son adversaire métropolitain.
En théorie, les Spinaliens auraient dû se déplacer sur l'île de La Réunion. Or, dans les faits, à partir des 32es de finale et l'entrée en lice des cadors de Ligue 1 et de Ligue 2, les clubs ultra-marins perdent systématiquement ce bénéfice. Les raisons invoquées par la Fédération française de football sont plus ou moins recevables : le coût d'un déplacement (supporté par la FFF) d'une équipe de top niveau loin de sa base, le calendrier très contraint pour les grosses équipes du haut de tableau qui doivent donc effectuer un déplacement lointain ou encore l'état des terrains sous les tropiques, de moins bonne facture qu'en métropole.
Pour le match de ces 16es de finale, ce sont les Spinaliens qui étaient opposés à la JSSP. Lorsque deux équipes sont séparées par au moins deux divisions d'écart, Épinal évoluant en N2 (Nationale 2) et la JSSP en DH (Division d'Honneur) - en l'état 4 divisions - le règlement de la Coupe de France prévoit en effet que le club situé à au moins 2 niveaux d'écart par rapport à son adversaire puisse avoir le bénéfice de recevoir son adversaire métropolitain.
En théorie, les Spinaliens auraient dû se déplacer sur l'île de La Réunion. Or, dans les faits, à partir des 32es de finale et l'entrée en lice des cadors de Ligue 1 et de Ligue 2, les clubs ultra-marins perdent systématiquement ce bénéfice. Les raisons invoquées par la Fédération française de football sont plus ou moins recevables : le coût d'un déplacement (supporté par la FFF) d'une équipe de top niveau loin de sa base, le calendrier très contraint pour les grosses équipes du haut de tableau qui doivent donc effectuer un déplacement lointain ou encore l'état des terrains sous les tropiques, de moins bonne facture qu'en métropole.