Vendredi dernier, industriel et planteurs s’étaient quittés sans trouver d’accord concernant le protocole d’échantillonnage pour cette saison sucrière. Les négociations au Centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre (CTICS) avaient tourné court et chaque partie était repartie frustrée. La conséquence directe de cette impasse est que la coupe canne ne débutera pas ce lundi. Une nouvelle réunion au CTICS ne se fera pas avant samedi prochain.
Face aux planteurs rassemblés devant l’usine de Beaufonds à Saint-Benoît Dominique Gigan, le président de la FDSEA, a expliqué les raisons de cet échec. Le blocage s’est fait concernant le prélèvement de la partie arrière du chargement. Les industriels veulent pouvoir percer la canne dépassant du chargement jusqu’à 30 centimètres à partir de la ridelle arrière alors que les planteurs veulent que cette méthode ne soit réalisée que pour les chargements dépassant d’un mètre.
"On ne peut pas accepter que ça reste comme cela", s’insurge Dominique Gigan qui indique avoir fait des propositions qui n’ont pas été acceptées. "Si le sondage se fait correctement, c’est le chargement du planteur qui sera analysé. Si cela ne se fait pas correctement, on verra si l’on peut trouver un accord à l’amiable comme cela a été demandé. Une dérogation pour que le planteur puisse le faire" poursuit Edvin Payet, président du Centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre (CTICS) en tant que représentant du syndicat FDSEA.
Malgré les oppositions, planteurs et industriels espèrent qu’une solution soit trouvée samedi prochain pour que la saison puisse enfin démarrer.
Face aux planteurs rassemblés devant l’usine de Beaufonds à Saint-Benoît Dominique Gigan, le président de la FDSEA, a expliqué les raisons de cet échec. Le blocage s’est fait concernant le prélèvement de la partie arrière du chargement. Les industriels veulent pouvoir percer la canne dépassant du chargement jusqu’à 30 centimètres à partir de la ridelle arrière alors que les planteurs veulent que cette méthode ne soit réalisée que pour les chargements dépassant d’un mètre.
"On ne peut pas accepter que ça reste comme cela", s’insurge Dominique Gigan qui indique avoir fait des propositions qui n’ont pas été acceptées. "Si le sondage se fait correctement, c’est le chargement du planteur qui sera analysé. Si cela ne se fait pas correctement, on verra si l’on peut trouver un accord à l’amiable comme cela a été demandé. Une dérogation pour que le planteur puisse le faire" poursuit Edvin Payet, président du Centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre (CTICS) en tant que représentant du syndicat FDSEA.
Malgré les oppositions, planteurs et industriels espèrent qu’une solution soit trouvée samedi prochain pour que la saison puisse enfin démarrer.