
La pétition est on ne peut plus explicite et entend bien défendre "le maintien d'une concurrence saine, loyale sur la ligne Réunion Madagascar".
La compagnie présidée par Pascal de Izaguirre revendique ainsi le maintien de ses droits de trafic sur la ligne Réunion/Madagascar. La pétition rappelle que "l’ouverture de la desserte régionale en 2017 a permis à plus de personnes de voyager à des prix compétitifs. Corsair souligne les risques de retour à une situation de monopole qui aurait pour conséquences une baisse du trafic et une augmentation des prix."
La récente alliance entre Air Madagascar et Air Austral est clairement pointée du doigt : "Corsair souhaite poursuivre le développement du trafic régional afin de maintenir une situation de concurrence saine et loyale dans l’intérêt de ses clients. Une situation de concurrence saine et loyale, cela signifie la présence d’au moins deux compagnies sur la ligne pour pouvoir offrir aux clients des prix compétitifs et éviter les situations de monopole. Eviter cette situation de monopole dans le contexte du récent partenariat stratégique entre Air Austral et Air Madagascar justifie pleinement le maintien des droits de trafic de Corsair sur la ligne Réunion/Antananarivo ".
Pour rappel, une réunion avec les Autorités Civiles française et malgache s’est tenue à Paris le 28 février 2018. Au cours de cette réunion, des discussions ont eu lieu sur le trafic additionnel apporté par Corsair. La compagnie tient à souligner le point suivant : " Il a été également question de savoir si la clientèle additionnelle était bien touristique et pas uniquement malgache. Nous confirmons que 60% des passagers additionnels sont réunionnais et seulement 15% des passagers malgaches. Il n’y a donc aucune raison objective aujourd’hui pour remettre en cause cette attribution de droits. Si tel était le cas, la concurrence saine et loyale qui existe aujourd’hui ferait place à un monopole propice à une augmentation des tarifs ".
Antoine Huet, le directeur adjoint aux Affaires commerciales de la compagnie, sera l'invité de Pierrot Dupuy cet après-midi afin d'évoquer ce dossier brûlant...
La compagnie présidée par Pascal de Izaguirre revendique ainsi le maintien de ses droits de trafic sur la ligne Réunion/Madagascar. La pétition rappelle que "l’ouverture de la desserte régionale en 2017 a permis à plus de personnes de voyager à des prix compétitifs. Corsair souligne les risques de retour à une situation de monopole qui aurait pour conséquences une baisse du trafic et une augmentation des prix."
La récente alliance entre Air Madagascar et Air Austral est clairement pointée du doigt : "Corsair souhaite poursuivre le développement du trafic régional afin de maintenir une situation de concurrence saine et loyale dans l’intérêt de ses clients. Une situation de concurrence saine et loyale, cela signifie la présence d’au moins deux compagnies sur la ligne pour pouvoir offrir aux clients des prix compétitifs et éviter les situations de monopole. Eviter cette situation de monopole dans le contexte du récent partenariat stratégique entre Air Austral et Air Madagascar justifie pleinement le maintien des droits de trafic de Corsair sur la ligne Réunion/Antananarivo ".
Pour rappel, une réunion avec les Autorités Civiles française et malgache s’est tenue à Paris le 28 février 2018. Au cours de cette réunion, des discussions ont eu lieu sur le trafic additionnel apporté par Corsair. La compagnie tient à souligner le point suivant : " Il a été également question de savoir si la clientèle additionnelle était bien touristique et pas uniquement malgache. Nous confirmons que 60% des passagers additionnels sont réunionnais et seulement 15% des passagers malgaches. Il n’y a donc aucune raison objective aujourd’hui pour remettre en cause cette attribution de droits. Si tel était le cas, la concurrence saine et loyale qui existe aujourd’hui ferait place à un monopole propice à une augmentation des tarifs ".
Antoine Huet, le directeur adjoint aux Affaires commerciales de la compagnie, sera l'invité de Pierrot Dupuy cet après-midi afin d'évoquer ce dossier brûlant...