Ce sont les paroles d’un expert chinois en maladie infectieuses, évoquant une transmission des animaux vers les humains, qui ont poussé les autorités locales à afficher des dépliants interdisant aux résidents de laisser les chats, les chiens ou le bétail sortir de chez eux.
À noter que les ventes de masques pour animaux de compagnie ont grimpé en flèche depuis que le virus a éclaté début janvier, précise le média.
L’OMS, qui a qualifié le coronavirus d’urgence sanitaire mondiale, a déclaré qu’il n’y avait aucune preuve que le virus avait été transmis à des animaux domestiques. Par ailleurs, un docteur spécialiste des politiques chinoises de la Humane Society International a condamné ces notes ordonnant que les chats et les chiens soient tués dans l’intérêt de la santé publique, estimant que les chiens et chats n’avaient rien à voir avec l’épidémie.