C’est le très célèbre magazine d’investigation allemand Der Spiegel qui a révélé l’information. Dietmar Hopp, propriétaire de la société biopharmaceutique CureVac, est en phase terminale de développement d’un vaccin qui affaiblirait les effets du COVID-19. L’homme d’affaires est également actionnaire de la Fondation Bill et Melinda Gates qui développe, avec l’aide de CureVac, des vaccins contre les maladies infectieuses.
Make America wait again
Toujours selon der Spiegel, la preuve du sérieux de cette nouvelle est l’intérêt du président américain. Fidèle à sa devise "America First", l’Amérique d’abord, Donald Trump a voulu négocier l’exclusivité du vaccin pour son pays. De plus, il tenterait de recruter des chercheurs et scientifiques allemands avec un gros chèque.
Heureusement, pour les plus de 7 milliards d’humains qui ne sont pas américains, le milliardaire allemand a refusé l’offre. "Si nous espérons pouvoir développer un vaccin efficace contre le coronavirus bientôt, cette personne devrait non seulement tendre la main et protéger les gens partout dans le monde, mais aussi être plus solidaire. Ça peut aider", a déclaré Dietmar Hopp.
Une décision qu’a saluée Peter Altmaier, le ministre de l’Économie allemande. "Ce fut une grande décision de la part de la gérance de la société. Avec cette décision d’offrir un possible vaccin à tout le monde, il a clairement montré la manière de sortir de cette crise. L’Allemagne n’est pas en vente", confie-t-il.
De la haine à l’amour en moins d’un mois
Quasiment inconnu hors de ses frontières, Dietmar Hopp est le président de club de football le plus détesté d’Allemagne. La haine qu’il suscite avait fait le tour du monde le 29 février dernier. Son club d’Hoffenheim recevait l’équipe phare d’Allemagne, le Bayern Munich. En fin de match, malgré la large victoire de leur équipe, les supporters bavarois ont déployé une banderole insultant Hopp.
Un incident qui a provoqué une scène inédite dans l'histoire du football. Après plusieurs arrêts de jeu, en soutien au président d’Hoffenheim, les joueurs des deux équipes avaient terminé le match en se faisant des passes les uns les autres au centre du terrain. Nul doute que ces mêmes hooligans allemands doivent à présent avoir un énorme cas de conscience : accepter d’être sauvé par l’homme qu'ils détestent le plus.
Make America wait again
Toujours selon der Spiegel, la preuve du sérieux de cette nouvelle est l’intérêt du président américain. Fidèle à sa devise "America First", l’Amérique d’abord, Donald Trump a voulu négocier l’exclusivité du vaccin pour son pays. De plus, il tenterait de recruter des chercheurs et scientifiques allemands avec un gros chèque.
Heureusement, pour les plus de 7 milliards d’humains qui ne sont pas américains, le milliardaire allemand a refusé l’offre. "Si nous espérons pouvoir développer un vaccin efficace contre le coronavirus bientôt, cette personne devrait non seulement tendre la main et protéger les gens partout dans le monde, mais aussi être plus solidaire. Ça peut aider", a déclaré Dietmar Hopp.
Une décision qu’a saluée Peter Altmaier, le ministre de l’Économie allemande. "Ce fut une grande décision de la part de la gérance de la société. Avec cette décision d’offrir un possible vaccin à tout le monde, il a clairement montré la manière de sortir de cette crise. L’Allemagne n’est pas en vente", confie-t-il.
De la haine à l’amour en moins d’un mois
Quasiment inconnu hors de ses frontières, Dietmar Hopp est le président de club de football le plus détesté d’Allemagne. La haine qu’il suscite avait fait le tour du monde le 29 février dernier. Son club d’Hoffenheim recevait l’équipe phare d’Allemagne, le Bayern Munich. En fin de match, malgré la large victoire de leur équipe, les supporters bavarois ont déployé une banderole insultant Hopp.
Un incident qui a provoqué une scène inédite dans l'histoire du football. Après plusieurs arrêts de jeu, en soutien au président d’Hoffenheim, les joueurs des deux équipes avaient terminé le match en se faisant des passes les uns les autres au centre du terrain. Nul doute que ces mêmes hooligans allemands doivent à présent avoir un énorme cas de conscience : accepter d’être sauvé par l’homme qu'ils détestent le plus.