En ce mercredi 4 avril 2018, de 14h30 à 16h, les effectifs de l'Unité d'Ordre Publique et de Soutien ont procédé à un contrôle routier en vue notamment de réprimer les conduites sous influence à Saint-Denis, secteur du Moufia.
Les motards de la Formation Motocycliste Urbaine Départementale ont ainsi intercepté plusieurs conducteurs qui ont été soumis aux dépistages alcoolémie et stupéfiants.
Les effectifs du Groupe de Sécurité Routière également engagés ont ainsi contrôlé positif un scootériste au cannabis. Le contrevenant, qui était également dépourvu de gants, a confirmé aux agents avoir fumé ce matin une cigarette artisanale composée de zamal. Il a été conduit à l'hôpital afin de subir des prélèvements sanguins établissant médicalement son état et permettant d'incriminer la conduite sous influence de stupéfiants. Le scooter a, lui, été immobilisé.
Le conducteur d'un véhicule Toyota Yaris a lui aussi été contrôlé positif au cannabis. Il s'avérait qu'il circulait au volant d'un véhicule équipé d'un pneu lisse et malgré une mesure d'immobilisation de son véhicule, et par ailleurs précédemment verbalisé pour non transfert du certificat d'immatriculation. La mise en fourrière a été sollicitée. Le conducteur a été également transporté à l'hôpital en vue des prélèvements obligatoires.
Ces deux conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants encourent 2 ans d'emprisonnement, une amende d'un montant de 4500 € et le retrait de 6 points.
Dans le même temps, une fourgonnette Volkswagen ne respectant pas un feu rouge fixe au carrefour rue du Béarn/avenue Georges Brassens, a percuté une Renault Clio et a continué sa route. Les services de secours sont intervenus pour prendre en charge une personne blessée dans la Clio et la transporter au CHU Félix Guyon.
79 excès de vitesse en moins de deux heures
Intercepté, le conducteur de la camionnette conduisait avec une alcoolémie délictuelle de 0,76 mg d'alcool par litre d'air expiré (1,52 g d'alcool par litre de sang). Ce contrôle, réalisé en présence des jeunes Cadets de la République, a engagé 11 fonctionnaires et a permis de réprimer trois délits et huit contraventions dont le non-respect de 2 feux rouges fixes.
A noter qu'hier, les mêmes services du GSR et de la FMUD étaient engagés sur des contrôles de vitesse dans l'ouest du département. 79 excès avaient été constatés en moins de deux heures en fin d'après-midi, justifiant l'interception de 18 conducteurs. Les motards ont relevé par ailleurs 15 contraventions (non port de casque, non respect de distance de sécurité, utilisation d'un téléphone tenu en main...).
Ce matin, c'est à Saint-Pierre qu'un contrôle de la FMUD a permis de constater la commission de 23 contraventions (5 irrespects de feux de signalisation, 5 défauts de casque...). Un conducteur, déjà connu pour de nombreuses infractions à la circulation routière, était présenté au Commissariat de la circonscription car il s'avérait qu'il circulait alors que son permis avait été invalidé, faute de point.
"Ces contrôles qui relèvent de l'activité quotidienne des services de Police en matière de sécurité routière montrent la regrettable persistance des conduites à risques, que ce soit en semaine ou le week-end", déplore la Direction départementale de la sécurité publique.
Les motards de la Formation Motocycliste Urbaine Départementale ont ainsi intercepté plusieurs conducteurs qui ont été soumis aux dépistages alcoolémie et stupéfiants.
Les effectifs du Groupe de Sécurité Routière également engagés ont ainsi contrôlé positif un scootériste au cannabis. Le contrevenant, qui était également dépourvu de gants, a confirmé aux agents avoir fumé ce matin une cigarette artisanale composée de zamal. Il a été conduit à l'hôpital afin de subir des prélèvements sanguins établissant médicalement son état et permettant d'incriminer la conduite sous influence de stupéfiants. Le scooter a, lui, été immobilisé.
Le conducteur d'un véhicule Toyota Yaris a lui aussi été contrôlé positif au cannabis. Il s'avérait qu'il circulait au volant d'un véhicule équipé d'un pneu lisse et malgré une mesure d'immobilisation de son véhicule, et par ailleurs précédemment verbalisé pour non transfert du certificat d'immatriculation. La mise en fourrière a été sollicitée. Le conducteur a été également transporté à l'hôpital en vue des prélèvements obligatoires.
Ces deux conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants encourent 2 ans d'emprisonnement, une amende d'un montant de 4500 € et le retrait de 6 points.
Dans le même temps, une fourgonnette Volkswagen ne respectant pas un feu rouge fixe au carrefour rue du Béarn/avenue Georges Brassens, a percuté une Renault Clio et a continué sa route. Les services de secours sont intervenus pour prendre en charge une personne blessée dans la Clio et la transporter au CHU Félix Guyon.
79 excès de vitesse en moins de deux heures
Intercepté, le conducteur de la camionnette conduisait avec une alcoolémie délictuelle de 0,76 mg d'alcool par litre d'air expiré (1,52 g d'alcool par litre de sang). Ce contrôle, réalisé en présence des jeunes Cadets de la République, a engagé 11 fonctionnaires et a permis de réprimer trois délits et huit contraventions dont le non-respect de 2 feux rouges fixes.
A noter qu'hier, les mêmes services du GSR et de la FMUD étaient engagés sur des contrôles de vitesse dans l'ouest du département. 79 excès avaient été constatés en moins de deux heures en fin d'après-midi, justifiant l'interception de 18 conducteurs. Les motards ont relevé par ailleurs 15 contraventions (non port de casque, non respect de distance de sécurité, utilisation d'un téléphone tenu en main...).
Ce matin, c'est à Saint-Pierre qu'un contrôle de la FMUD a permis de constater la commission de 23 contraventions (5 irrespects de feux de signalisation, 5 défauts de casque...). Un conducteur, déjà connu pour de nombreuses infractions à la circulation routière, était présenté au Commissariat de la circonscription car il s'avérait qu'il circulait alors que son permis avait été invalidé, faute de point.
"Ces contrôles qui relèvent de l'activité quotidienne des services de Police en matière de sécurité routière montrent la regrettable persistance des conduites à risques, que ce soit en semaine ou le week-end", déplore la Direction départementale de la sécurité publique.