
Au cours du week-end, ce sont 167 infractions qui ont été relevées par les gendarmes, dont 79 excès de vitesse et 37 rétentions de permis de conduire.
Sur le secteur de Est de l’île, les motocyclistes de Saint-Benoit (renforcés par les réservistes du DSIR/EDSR, ainsi que des militaires de Bras Panon et de la Police Municipale) ont réalisé de nombreux postes de contrôles routiers à la recherche d'infractions graves génératrices d’accidents. Le bilan est éloquent avec 62 infractions constatées.
Sur le secteur Ouest, la brigade motorisée de Saint-Paul a intercepté 19 automobilistes pour avoir commis, 6 conduites addictives, 5 excès de vitesses, 2 dépassements dangereux, 4 conduites avec téléphone et 2 franchissement de stop.
Dans le Sud de l’Île, la brigade de la Rivière Saint-Louis a intercepté, le contrôlé et verbalisé 42 usagers. Ce sont 14 conduites addictives qui ont été constatées, suivies de 5 excès de vitesses, 4 refus de priorité, 2 franchissements de ligne axiale continue, 5 téléphones, 7 ceintures, 2 défauts d’assurance donc 1 en récidive ayant motivé la mise en fourrière immédiate du véhicule, 2 défauts de permis de conduire et 2 conducteurs de deux roues sans casque.
Véhicule placé en fourrière
Parmi les faits particuliers relevés par la gendarmerie, vendredi, un automobiliste a été contrôlé sans permis de conduire, non couvert pas un contrat d’assurance, et avec contrôle technique dépassé. "Les investigations menées permettent de mettre en évidence que ce dernier est en état de récidive légale. Son véhicule a été immédiatement placé en fourrière", rapporte la gendarmerie.
Par ailleurs, le samedi, un conducteur d'une motocyclette a refusé le contrôle malgré l'injonction des militaires. "Rapidement identifié, il appert que le conducteur n’est pas titulaire du permis de conduire, que sa motocyclette n'est pas assurée et qu'il n'a pas établi la carte grise à son nom", indique la gendarmerie. Entendu, le contrevenant a reconnu les infractions. Il attend désormais la décision des magistrats.
À noter qu'au cours de cette même journée, trois autres refus obtempérer ont été constatés et que l’identification des contrevenants est en cours. Ils encourent un an d'emprisonnement et 7 500 euros d'amende.
En parallèle, des contrôles ont été menés par les forces de police.
Sur le secteur de Est de l’île, les motocyclistes de Saint-Benoit (renforcés par les réservistes du DSIR/EDSR, ainsi que des militaires de Bras Panon et de la Police Municipale) ont réalisé de nombreux postes de contrôles routiers à la recherche d'infractions graves génératrices d’accidents. Le bilan est éloquent avec 62 infractions constatées.
Sur le secteur Ouest, la brigade motorisée de Saint-Paul a intercepté 19 automobilistes pour avoir commis, 6 conduites addictives, 5 excès de vitesses, 2 dépassements dangereux, 4 conduites avec téléphone et 2 franchissement de stop.
Dans le Sud de l’Île, la brigade de la Rivière Saint-Louis a intercepté, le contrôlé et verbalisé 42 usagers. Ce sont 14 conduites addictives qui ont été constatées, suivies de 5 excès de vitesses, 4 refus de priorité, 2 franchissements de ligne axiale continue, 5 téléphones, 7 ceintures, 2 défauts d’assurance donc 1 en récidive ayant motivé la mise en fourrière immédiate du véhicule, 2 défauts de permis de conduire et 2 conducteurs de deux roues sans casque.
Véhicule placé en fourrière
Parmi les faits particuliers relevés par la gendarmerie, vendredi, un automobiliste a été contrôlé sans permis de conduire, non couvert pas un contrat d’assurance, et avec contrôle technique dépassé. "Les investigations menées permettent de mettre en évidence que ce dernier est en état de récidive légale. Son véhicule a été immédiatement placé en fourrière", rapporte la gendarmerie.
Par ailleurs, le samedi, un conducteur d'une motocyclette a refusé le contrôle malgré l'injonction des militaires. "Rapidement identifié, il appert que le conducteur n’est pas titulaire du permis de conduire, que sa motocyclette n'est pas assurée et qu'il n'a pas établi la carte grise à son nom", indique la gendarmerie. Entendu, le contrevenant a reconnu les infractions. Il attend désormais la décision des magistrats.
À noter qu'au cours de cette même journée, trois autres refus obtempérer ont été constatés et que l’identification des contrevenants est en cours. Ils encourent un an d'emprisonnement et 7 500 euros d'amende.
En parallèle, des contrôles ont été menés par les forces de police.