
Alors que l'AMDR (Association des maires de la Réunion) se réunit ce matin à son siège, rue Amiral Lacaze à Saint-Denis, pour discuter puis donner sa position sur les restrictions de contrats aidés, l'ARCP (Alliance des Réunionnais contre la pauvreté), emmenée par son président Jean-Hugues Ratenon, s'est invitée pour déposer une motion.
"La programmation de la baisse des emplois aidés entrainera si rien n’est fait, la suppression de plus de 14 000 postes de services dans les collectivités (Mairie, Région, Conseil Général et EPCI), associations et hôpitaux de l’île. Une catastrophe sociale de plus dans la période actuelle avec à la clé un manque de prêts de 70 millions d’euros dans notre économie", explique Jean-Hugues Ratenon.
L'objectif de l'association est de "mettre la pression" sur les élus afin qu'ils prennent leurs responsabilités sur la problématique de la baisse du nombre de contrats aidés et évitent de se rejeter la faute. Pour Jean-Hugues Ratenon, les maires doivent faire appel aux parlementaires sur cette problématique car les décisions ne sont pas prises localement par la Préfecture mais plus haut, à Paris.
La motion déposée par l'ARCP stipule: "Nous demandons aux maires de la Réunion de déscendre à minima la reconduction des contrats pour le maintien des postes de service public dans les collectivités".
"La programmation de la baisse des emplois aidés entrainera si rien n’est fait, la suppression de plus de 14 000 postes de services dans les collectivités (Mairie, Région, Conseil Général et EPCI), associations et hôpitaux de l’île. Une catastrophe sociale de plus dans la période actuelle avec à la clé un manque de prêts de 70 millions d’euros dans notre économie", explique Jean-Hugues Ratenon.
L'objectif de l'association est de "mettre la pression" sur les élus afin qu'ils prennent leurs responsabilités sur la problématique de la baisse du nombre de contrats aidés et évitent de se rejeter la faute. Pour Jean-Hugues Ratenon, les maires doivent faire appel aux parlementaires sur cette problématique car les décisions ne sont pas prises localement par la Préfecture mais plus haut, à Paris.
La motion déposée par l'ARCP stipule: "Nous demandons aux maires de la Réunion de déscendre à minima la reconduction des contrats pour le maintien des postes de service public dans les collectivités".