
Le conseil municipal de St-Denis (photo d'archives)
Hier, c'était conseil municipal à Saint-Denis. Et bien évidemment, l'opposition n'a pas manqué de mettre sur le tapis les "dérapages" de Gilbert Annette lors de ses rencontres diffusées sur Facebook.
On se souvient qu'il avait d'abord reproché à la police de ne pas intervenir la nuit quand on avait besoin d'elle, justifiant du même coup la création de sortes de milices qui ne disent pas leur nom, les fameux "médiateurs", au sein desquelles la longueur du casier judiciaire tient lieu et place de diplôme.
Puis, il y a quelques jours, rebelote, il avait reproché aux Dionysiens de ne pas avoir assez d'ambition. "Quand un jeune vient me voir en me disant qu'il veut devenir gardien de la paix, je lui dis qu'il faut qu'il vise plus haut, qu'il cherche à devenir commissaire de police", avait-il dit en substance. Oubliant au passage que pour devenir gardien de la paix, un simple Bac suffit, alors qu'il faut un Master 2 (Bac+5) pour pouvoir présenter le concours de commissaire. Sans certitude pour autant d'être reçu...
Hier soir donc, Gilbert Annette a de nouveau dérapé. Interrogé par l'opposition, il a révélé qu'il avait eu un entretien avec le patron de la police, le commissaire Lebon, et que ce dernier avait très bien compris ce qu'il voulait dire.
Mieux, il aurait été d'accord avec lui sur le fait que si les syndicats se montraient aussi vindicatifs, c'est parce-que les élections professionnelles approchaient.
Enfin, toujours selon Gilbert Annette, le Directeur départemental de la sécurité publique aurait reconnu que nombre de ses policiers lui disent en effet pousser leurs enfants à devenir commissaires de police.
Nul doute que le DDSP a dû apprécier que l'on révèle, si les propos rapportés par Gilbert Annette sont vrais ce qui reste à démontrer, le contenu d'une conversation privée qui risque de le mettre en porte à faux en interne..
On se souvient qu'il avait d'abord reproché à la police de ne pas intervenir la nuit quand on avait besoin d'elle, justifiant du même coup la création de sortes de milices qui ne disent pas leur nom, les fameux "médiateurs", au sein desquelles la longueur du casier judiciaire tient lieu et place de diplôme.
Puis, il y a quelques jours, rebelote, il avait reproché aux Dionysiens de ne pas avoir assez d'ambition. "Quand un jeune vient me voir en me disant qu'il veut devenir gardien de la paix, je lui dis qu'il faut qu'il vise plus haut, qu'il cherche à devenir commissaire de police", avait-il dit en substance. Oubliant au passage que pour devenir gardien de la paix, un simple Bac suffit, alors qu'il faut un Master 2 (Bac+5) pour pouvoir présenter le concours de commissaire. Sans certitude pour autant d'être reçu...
Hier soir donc, Gilbert Annette a de nouveau dérapé. Interrogé par l'opposition, il a révélé qu'il avait eu un entretien avec le patron de la police, le commissaire Lebon, et que ce dernier avait très bien compris ce qu'il voulait dire.
Mieux, il aurait été d'accord avec lui sur le fait que si les syndicats se montraient aussi vindicatifs, c'est parce-que les élections professionnelles approchaient.
Enfin, toujours selon Gilbert Annette, le Directeur départemental de la sécurité publique aurait reconnu que nombre de ses policiers lui disent en effet pousser leurs enfants à devenir commissaires de police.
Nul doute que le DDSP a dû apprécier que l'on révèle, si les propos rapportés par Gilbert Annette sont vrais ce qui reste à démontrer, le contenu d'une conversation privée qui risque de le mettre en porte à faux en interne..