Alors que le 1er Comité technique académique (CTA) présidé par le nouveau recteur devait se tenir ce vendredi matin, ce rendez-vous avait été rendu impossible en raison de l'occupation de la salle par des agents qui protestaient contre la souffrance au travail, soutenant l'une de leur collègue. Une action "coup de poing" menée à l'initiative de l'intersyndicale.
Ce dimanche, les syndicats (CGTR Educ'Action, Saiper-Pas 974, Fnec-FP-FO) réagissent par voie de communiqué, dénonçant la tenue d'un "CTA marron" juste après leur action. "Nous avons été informés que le rectorat a organisé en misouk, quasi clandestinement, piétinant ainsi les dispositions réglementaires les plus élémentaires, une autre reunion du CTA le même jour dans les locaux de l'université vers 11h", indiquent-ils. Un CTA auquel l'administration n'aurait pas convié les représentants titulaires, ni les experts désignés par leurs organisations.
Pour l'intersyndicale, il s'agit là d'une violation caractérisée des règles de procédure, laquelle entache d'illégalité la tenue de cette rencontre en raison d'une composition irrégulière. "Une chose est sûre, le nouveau recteur aurait tout intérêt à s'entourer de bons et meilleurs conseillers tant la bourde est grossière et la manœuvre inédite", tacle le communiqué.
Indignés, les syndicats exigent du recteur "l'annulation de ce CTA irrégulier et une nouvelle convocation dans le respect des dispositions réglementaires". A défaut, ils annoncent qu'ils saisiront la juridiction administrative.
Ce dimanche, les syndicats (CGTR Educ'Action, Saiper-Pas 974, Fnec-FP-FO) réagissent par voie de communiqué, dénonçant la tenue d'un "CTA marron" juste après leur action. "Nous avons été informés que le rectorat a organisé en misouk, quasi clandestinement, piétinant ainsi les dispositions réglementaires les plus élémentaires, une autre reunion du CTA le même jour dans les locaux de l'université vers 11h", indiquent-ils. Un CTA auquel l'administration n'aurait pas convié les représentants titulaires, ni les experts désignés par leurs organisations.
Pour l'intersyndicale, il s'agit là d'une violation caractérisée des règles de procédure, laquelle entache d'illégalité la tenue de cette rencontre en raison d'une composition irrégulière. "Une chose est sûre, le nouveau recteur aurait tout intérêt à s'entourer de bons et meilleurs conseillers tant la bourde est grossière et la manœuvre inédite", tacle le communiqué.
Indignés, les syndicats exigent du recteur "l'annulation de ce CTA irrégulier et une nouvelle convocation dans le respect des dispositions réglementaires". A défaut, ils annoncent qu'ils saisiront la juridiction administrative.