Hubert Poinapin et ses soutiens ont été reçus hier par les directions de GTOI et de SBTPC pour comprendre l'origine de la brouille opposant le GRTS à Jean-Bernard Caroupaye. Si pour l'heure, le groupement NRL ne se positionne pas, une nouvelle réunion doit se tenir cet après-midi pour tenter une issue favorable à ce conflit. "On a discuté longuement sur cette mobilisation, ils comprennent ce qui se passe. Ils vont se réunir entre eux et réfléchir comment sortir de cette crise", indique Hubert Poinapin.
Pour rappel depuis lundi, aucun des camions transportant les matériaux pour le chantier MT 6-1 n'a pu livrer son chargement sur le site. Initialement retenu dans le marché du chantier MT 6-1, le GRTS demandait "comme pour l'ensemble des autres groupements" une part de 20%. Or, après une réunion jeudi dernier avec l'ensemble des parties, le GRTS apprend qu'il n'aura que 10% "et pas plus". Le lendemain, soit vendredi soir, il apprend finalement qu'il n'aura aucune part de ce marché. D'où la mobilisation en cours depuis lundi.
"Ils (NDLR: la société de Jean-Bernard Caroupaye) disent qu'on les empêche de travailler. Mais qu'est-ce qu'ils ont fait eux, en face ? Ils ont retiré le travail dans notre main et nous ne devons rien faire ?", s'emporte Hubert Poinapin, qui n'est pas le seul transporteur à avoir été éjecté du marché MT 6-1.
Augustin Sandance, gérant de la société GTO (Groupe Transport de l'Ouest) fait également partie des déçus. Il ne comprend pas comment de nouveaux groupements, "qui se sont montés en toute vitesse" ont pu bénéficier de ce marché alors que d'autres sociétés comme la sienne, "n'ont même pas été consultées". Ou que des sociétés "et non des groupements" ont pu répondre à l'appel d'offre du MT 6-1 "au détriment des groupements déjà en place et calibrés".
"Parce qu'on est pas d'accord de n'avoir rien eu, nous ne devons rien dire ? Ce n'est pas comme ça que cela marche", reprend Hubert Poinapin qui dénonce les "méthodes" de Jean-Bernard Caroupaye. "Mardi dernier, deux jours avant la réunion avec le groupement, la plupart des groupements n'étaient pas d'accord avec le partage opéré. La veille de cette réunion, M.Caroupaye a réuni tout le monde chez lui et les a briefé. Lors de la réunion, tout monde était d'accord. Ils n'ont pas les moyens de se défendre et ne peuvent rien dire sinon ils ont la tête coupée", assure-t-il.
Pour rappel depuis lundi, aucun des camions transportant les matériaux pour le chantier MT 6-1 n'a pu livrer son chargement sur le site. Initialement retenu dans le marché du chantier MT 6-1, le GRTS demandait "comme pour l'ensemble des autres groupements" une part de 20%. Or, après une réunion jeudi dernier avec l'ensemble des parties, le GRTS apprend qu'il n'aura que 10% "et pas plus". Le lendemain, soit vendredi soir, il apprend finalement qu'il n'aura aucune part de ce marché. D'où la mobilisation en cours depuis lundi.
"Ils (NDLR: la société de Jean-Bernard Caroupaye) disent qu'on les empêche de travailler. Mais qu'est-ce qu'ils ont fait eux, en face ? Ils ont retiré le travail dans notre main et nous ne devons rien faire ?", s'emporte Hubert Poinapin, qui n'est pas le seul transporteur à avoir été éjecté du marché MT 6-1.
Augustin Sandance, gérant de la société GTO (Groupe Transport de l'Ouest) fait également partie des déçus. Il ne comprend pas comment de nouveaux groupements, "qui se sont montés en toute vitesse" ont pu bénéficier de ce marché alors que d'autres sociétés comme la sienne, "n'ont même pas été consultées". Ou que des sociétés "et non des groupements" ont pu répondre à l'appel d'offre du MT 6-1 "au détriment des groupements déjà en place et calibrés".
"Parce qu'on est pas d'accord de n'avoir rien eu, nous ne devons rien dire ? Ce n'est pas comme ça que cela marche", reprend Hubert Poinapin qui dénonce les "méthodes" de Jean-Bernard Caroupaye. "Mardi dernier, deux jours avant la réunion avec le groupement, la plupart des groupements n'étaient pas d'accord avec le partage opéré. La veille de cette réunion, M.Caroupaye a réuni tout le monde chez lui et les a briefé. Lors de la réunion, tout monde était d'accord. Ils n'ont pas les moyens de se défendre et ne peuvent rien dire sinon ils ont la tête coupée", assure-t-il.