Hier soir, pour la première fois depuis le début du mouvement, une quinzaine de camions appartenant au groupement de Jean-Bernard Caroupaye ont pu livrer leurs matériaux. "Ils ont attendu qu'on ait levé le camp pour entrer sur le site. Le tout avec la complicité du groupement NRL qui a semble-t-il choisi son camp", peste Hubert Poinapin, président du SRTT, soutenu par le GRTS.
Ce dernier avait promis de durcir le mouvement à l'entrée du chantier de la NRL si aucune solution n'était trouvée pour satisfaire l'ensemble des parties. Mais en absence de réponse de la part du groupement NRL et du camp Caroupaye, la contestation du GRTS va passer un cap ce mercredi. En effet, le GRTS va être rejoint dans sa lutte par d'autres groupements exclus du marché MT 6-1 et même des syndicats, "et même un au niveau national", précise Hubert Poinapin.
De son côté, la FNTR (qui représente Jean-Bernard Caroupaye) et son président Jean-Gaël Rivière ne semblent pas plus inquiets que cela de cette contestation. "Ils font ce qu'ils ont à faire, il y a une procédure juridique en cours", a rappelé le patron de la FNTR, qui ne "pense pas que le mouvement va s'éterniser".
Réponse dans la journée...
Ce dernier avait promis de durcir le mouvement à l'entrée du chantier de la NRL si aucune solution n'était trouvée pour satisfaire l'ensemble des parties. Mais en absence de réponse de la part du groupement NRL et du camp Caroupaye, la contestation du GRTS va passer un cap ce mercredi. En effet, le GRTS va être rejoint dans sa lutte par d'autres groupements exclus du marché MT 6-1 et même des syndicats, "et même un au niveau national", précise Hubert Poinapin.
De son côté, la FNTR (qui représente Jean-Bernard Caroupaye) et son président Jean-Gaël Rivière ne semblent pas plus inquiets que cela de cette contestation. "Ils font ce qu'ils ont à faire, il y a une procédure juridique en cours", a rappelé le patron de la FNTR, qui ne "pense pas que le mouvement va s'éterniser".
Réponse dans la journée...