
“Nous avons créé un collectif, car nous avons la même préoccupation, l’avenir de nos enfants. Nous avons déjà rencontré les enseignants, nous demandons maintenant à rencontrer la principale. Ainsi, nous pourrons faire notre opinion sur ce qui se passe”.
L’un des parents présents devant les grilles du collège Mille Roches, vendredi matin, a déjà sa petite idée, mais pas question de choisir un camp ou l’autre. “Cette affaire ne nous regarde pas, mais si elle touche nos enfants, alors c’est différent”.
Ce week-end, certains parents ont passé leur temps à réunir les troupes. “Nous sommes déjà à une cinquantaine de personnes, toutes sont inquiètes de la tournure des événements”.
Aussi, ce matin vers huit heures, ces parents d’élèves demanderont une audience à la principale. “On ne sait pas si elle va nous recevoir”.
Quelle que soit la position de la principale, les parents d’élèves attendront l’assemblée générale de cet après-midi pour définir l’attitude à adopter.
L’un des parents présents devant les grilles du collège Mille Roches, vendredi matin, a déjà sa petite idée, mais pas question de choisir un camp ou l’autre. “Cette affaire ne nous regarde pas, mais si elle touche nos enfants, alors c’est différent”.
Ce week-end, certains parents ont passé leur temps à réunir les troupes. “Nous sommes déjà à une cinquantaine de personnes, toutes sont inquiètes de la tournure des événements”.
Aussi, ce matin vers huit heures, ces parents d’élèves demanderont une audience à la principale. “On ne sait pas si elle va nous recevoir”.
Quelle que soit la position de la principale, les parents d’élèves attendront l’assemblée générale de cet après-midi pour définir l’attitude à adopter.