On pensait que la décision du sous-préfet de Saint-Pierre de débloquer le conflit au Groupement de défense sanitaire de Grands-Bois, serait appliquée aujourd'hui mais il n'en est rien.
Après une seule journée de déblocage samedi dernier, la tension reste palpable entre la direction sortante et le nouveau président, Jérôme Huet, nommé en conseil d'administration le 5 août dernier. Une tension qui repose, en réalité, sur les difficultés à reconnaître le nouveau président.
Si les clefs des camions d'équarrissage sont bien réapparues samedi dernier, aucune évolution n'est à noter pour cette association chargée de récupérer et ramasser les cadavres d'animaux, souvent issus d'élevages. Si le conflit venait à s'enliser, l'enterrement des animaux ne sera plus à exclure.
Ce matin, c'est un nouveau local, situé au 19ème kilomètre à la Plaine des Cafres, qui devait être intégré par les employés du GDS mais ce déménagement sera reporté en raison de la préparation du dossier de défense des administrés suite à l'assignation en justice par la direction sortante.
Les employés dans l'attente d'une décision de justice
Quant au GDS, il est toujours bloqué et les cadavres ne sont pas ramassés, ce qui représente un risque sanitaire. Seul le délibéré du Tribunal de grande instance de Saint-Pierre où une première audience est programmée ce mercredi, permettra un retour à la normal.
Par solidarité avec Jerôme Huet, la grande majorité des employés, soit 34 sur 38 devraient décider de suspendre le travail pour une durée illimitée. Seule la reconnaissance du statut de président de l'association GDS, fixée lors du conseil d'administration du 5 août, permettra le retour au calme et le déblocage de cet élément essentiel à la bonne gestion des carcasses et autres cadavres d'animaux. Un conseil auquel n'ont pas participé Frantz Sanassama et Rubert Moutouchetty, qui n'ont pas souhaité s'exprimer sur ce conflit.
C'est ce problème de reconnaissance et de statut qui mine le GDS depuis vendredi que le TGI de Saint-Pierre devra régler rapidement afin que la mission de service public puisse à nouveau reprendre.
Après une seule journée de déblocage samedi dernier, la tension reste palpable entre la direction sortante et le nouveau président, Jérôme Huet, nommé en conseil d'administration le 5 août dernier. Une tension qui repose, en réalité, sur les difficultés à reconnaître le nouveau président.
Si les clefs des camions d'équarrissage sont bien réapparues samedi dernier, aucune évolution n'est à noter pour cette association chargée de récupérer et ramasser les cadavres d'animaux, souvent issus d'élevages. Si le conflit venait à s'enliser, l'enterrement des animaux ne sera plus à exclure.
Ce matin, c'est un nouveau local, situé au 19ème kilomètre à la Plaine des Cafres, qui devait être intégré par les employés du GDS mais ce déménagement sera reporté en raison de la préparation du dossier de défense des administrés suite à l'assignation en justice par la direction sortante.
Les employés dans l'attente d'une décision de justice
Quant au GDS, il est toujours bloqué et les cadavres ne sont pas ramassés, ce qui représente un risque sanitaire. Seul le délibéré du Tribunal de grande instance de Saint-Pierre où une première audience est programmée ce mercredi, permettra un retour à la normal.
Par solidarité avec Jerôme Huet, la grande majorité des employés, soit 34 sur 38 devraient décider de suspendre le travail pour une durée illimitée. Seule la reconnaissance du statut de président de l'association GDS, fixée lors du conseil d'administration du 5 août, permettra le retour au calme et le déblocage de cet élément essentiel à la bonne gestion des carcasses et autres cadavres d'animaux. Un conseil auquel n'ont pas participé Frantz Sanassama et Rubert Moutouchetty, qui n'ont pas souhaité s'exprimer sur ce conflit.
C'est ce problème de reconnaissance et de statut qui mine le GDS depuis vendredi que le TGI de Saint-Pierre devra régler rapidement afin que la mission de service public puisse à nouveau reprendre.