
Trois heures, c’est le temps qu’a duré hier soir la rencontre programmée depuis vendredi, à la demande de la FCPE, entre une partie des professeurs, soutenus par un collectif de parents d’élèves et de l’autre, la direction du collège Mille Roches.
Commencé à seize heures, la réunion a vite tourné à la foire d’empoigne. “Nous avions l’impression qu’on se moquait de nous”, a lâché un papa déçu à l’issue de la discussion. “On ne comprend pas pourquoi toutes les troisièmes n’ont pas l’ASR. L’apprentissage à la sécurité routière est obligatoire en troisième”.
“Quand on a voulu savoir pourquoi, il manque une classe de sixième, cette année. La direction répond que c’est le conseil pédagogique qui a décidé sa suppression, alors que ce même conseil pédagogique n’a jamais siégé”.
C’est la question des emplois du temps, sur lesquels, “la principale ne veut rien lâcher”, qui a mis le feu aux poudres. “La discussion a été très animée. Nous regrettons tout de même l’irrespect de certaines personnes vis-à-vis de la principale ou de quelques enseignants”, déplore un autre parent.
En conclusion, selon une maman également déçue que ce conflit “ne soit pas terminé, ça été une réunion pour rien. Je n’ai pas eu un seul motif de satisfaction”.
La statu quo devrait entraîner un nouveau débrayage des enseignants “grévistes”, dès ce matin peut-être. Les parents du collectif, eux ont décidé de se tourner vers le Rectorat.
“Nous irons à Moufia, demander une audience au Recteur”. A suivre donc…
Commencé à seize heures, la réunion a vite tourné à la foire d’empoigne. “Nous avions l’impression qu’on se moquait de nous”, a lâché un papa déçu à l’issue de la discussion. “On ne comprend pas pourquoi toutes les troisièmes n’ont pas l’ASR. L’apprentissage à la sécurité routière est obligatoire en troisième”.
“Quand on a voulu savoir pourquoi, il manque une classe de sixième, cette année. La direction répond que c’est le conseil pédagogique qui a décidé sa suppression, alors que ce même conseil pédagogique n’a jamais siégé”.
C’est la question des emplois du temps, sur lesquels, “la principale ne veut rien lâcher”, qui a mis le feu aux poudres. “La discussion a été très animée. Nous regrettons tout de même l’irrespect de certaines personnes vis-à-vis de la principale ou de quelques enseignants”, déplore un autre parent.
En conclusion, selon une maman également déçue que ce conflit “ne soit pas terminé, ça été une réunion pour rien. Je n’ai pas eu un seul motif de satisfaction”.
La statu quo devrait entraîner un nouveau débrayage des enseignants “grévistes”, dès ce matin peut-être. Les parents du collectif, eux ont décidé de se tourner vers le Rectorat.
“Nous irons à Moufia, demander une audience au Recteur”. A suivre donc…