Lors de la lutte, les écouteurs d’Alexandre G. lui échappent et seront plus tard retrouvés par les enquêteurs qui feront un relevé ADN. Pas de trace du jeune homme dans les fichiers, l’affaire est alors classée, rappelle la presse écrite.
Seulement en 2013, il est interpellé pour vol et son ADN est alors identifiée. Il explique avoir voulu d’abord cambrioler la gramoune mais avoir cédé à une pulsion.
Huit ans de prison avaient été requis à l’encontre de l’agresseur par l’avocate générale. Il a été condamné à six ans de réclusion criminelle, accompagné de cinq ans de suivi socio-judiciaire à sa sortie.