« N’oublie pas d’écrire » ce principe, ce souhait, ce vœu, cette invocation ne fait plus partie de notre vocabulaire tant que la pratique de l’écriture manuelle s’éloigne de notre quotidien.
L’arrivée des outils numériques dans nos espaces professionnels et domestiques s’est multipliée par conséquent « écrire à la main » serait-il en train de devenir « un geste ancestral » ? Que nenni !
A l’école, lors la rentrée, la liste du matériel scolaire réclame (noir sur blanc) stylos, crayons, feutres etc… La vision d’une page d’écriture dans le cahier des enfants offre un reflet de sa personnalité : écriture penchée, fluide, pattes de mouche, de caractère… les graphologues se régalent et devinent les traits des personnalités…
Si pour certains face à un écran « le cerveau est simplement en mode de réception », l’écriture est un processus de retranscription, d’apprentissage dans le cerveau !
Mais il reste encore des espaces de vie où l’écriture à la main est bien « vivante » : la liste des courses, les cartes de vœux ou d’anniversaire, c’est tout ? Le site internet : « n’oublie pas d’écrire » est une belle invitation à reprendre la plume ou le stylo. Vanessa Mahabo a concentré : dossiers, films, livres autour de l’écriture manuscrite ainsi que conseils et même un espace réservé aux amateurs des échanges épistolaires. Son blog mérite le détour ! allez-y donc tout y est concentré.
Ce « crochet » vous permettra de mieux appréhender les premières lignes de votre lettre à envoyer à Leconte de
Lisle.
Et le principe du concours est simple :
Dans la grisaille parisienne, le poète réunionnais Charles Leconte de Lisle devenu Académicien, se promène dans les jardins du Luxembourg. Il entend un badaud s’exclamer : « oh La Réunion, lé pu comme avant ! ». Fort surpris par ce ouï-dire, il s’interroge et vous écrit.
Comment ça : La Réunion, lé pu comme avant ? Et les lieux de mon enfance, de ma jeunesse ? Et les créoles comment sont-ils aujourd'hui ?
Vous commencerez votre lettre ainsi : Monsieur Leconte de Lisle, J’ai sillonné l’île, si chère à votre cœur…
Rendez-vous sur notre site pour le règlement et à vos plumes !
L’arrivée des outils numériques dans nos espaces professionnels et domestiques s’est multipliée par conséquent « écrire à la main » serait-il en train de devenir « un geste ancestral » ? Que nenni !
A l’école, lors la rentrée, la liste du matériel scolaire réclame (noir sur blanc) stylos, crayons, feutres etc… La vision d’une page d’écriture dans le cahier des enfants offre un reflet de sa personnalité : écriture penchée, fluide, pattes de mouche, de caractère… les graphologues se régalent et devinent les traits des personnalités…
Si pour certains face à un écran « le cerveau est simplement en mode de réception », l’écriture est un processus de retranscription, d’apprentissage dans le cerveau !
Mais il reste encore des espaces de vie où l’écriture à la main est bien « vivante » : la liste des courses, les cartes de vœux ou d’anniversaire, c’est tout ? Le site internet : « n’oublie pas d’écrire » est une belle invitation à reprendre la plume ou le stylo. Vanessa Mahabo a concentré : dossiers, films, livres autour de l’écriture manuscrite ainsi que conseils et même un espace réservé aux amateurs des échanges épistolaires. Son blog mérite le détour ! allez-y donc tout y est concentré.
Ce « crochet » vous permettra de mieux appréhender les premières lignes de votre lettre à envoyer à Leconte de
Lisle.
Et le principe du concours est simple :
Dans la grisaille parisienne, le poète réunionnais Charles Leconte de Lisle devenu Académicien, se promène dans les jardins du Luxembourg. Il entend un badaud s’exclamer : « oh La Réunion, lé pu comme avant ! ». Fort surpris par ce ouï-dire, il s’interroge et vous écrit.
Comment ça : La Réunion, lé pu comme avant ? Et les lieux de mon enfance, de ma jeunesse ? Et les créoles comment sont-ils aujourd'hui ?
Vous commencerez votre lettre ainsi : Monsieur Leconte de Lisle, J’ai sillonné l’île, si chère à votre cœur…
Rendez-vous sur notre site pour le règlement et à vos plumes !