L’image de la femme chez Leconte de Lisle.
A l’époque de Leconte De Lisle (1818-1894) « les féminicides » et autres faits divers autour de la femme ne faisaient pas l’actualité. Le poète réunionnais possédait une vision de la femme loin de ces tourments.
Claudine Gothot-Mersh (1932-2016) philologue (étude des mots, des documents –écrits ou autres- et de tous les contenus de civilisation impliqué) et enseignante de la littérature française avait rédigé et publié en 1995, une communication à propos de « l’image de la femme chez Leconte de Lisle ».
Le contenu est surprenant. L’auteur met en avant le regard lyrique de l’immense poète posé sur la femme ou plutôt sur « les créatures féminines ». Il s’agit du regard « d’un homme éternellement amoureux ». La comparaison avec la nature est édifiante :
« Ses lèvres ont l’éclat des jeunes aubépines / Où chantent les oiseaux dans la rosée en pleurs »
« Dites son rire frais, plus doux que l’aubergine, / Le rayon d’or qui nage en ses yeux violets »
« Tu cours et bondis mieux que les gazelles. Celle-ci est « pareille / A l’Apsara qui court sur la mousse vermeille »
De la jeune fille en fleurs à la femme maternelle, de la femme antique à l’héroïne en passant par les meurtrières et la Vierge Marie ou encore des femmes noires, juives, latines, blanches ou déesses… LDL n’avait de cesse de les décrire dans ses divers écrits poétiques.
Avant de vous lancer dans une missive faite à Leconte de Lisle, il serait intéressant de lire cette publication dans son intégralité…Voici le lien
[https://www.arllfb.be/ebibliotheque/communications/gothotmersch110295.pdf]urlblank:https://www.arllfb.be/ebibliotheque/communications/gothotmersch110295.pdf
Et n’oubliez pas le principe du concours :
Dans la grisaille parisienne, le poète réunionnais Charles Leconte de Lisle devenu Académicien, se promène dans les jardins du Luxembourg. Il entend un badaud s’exclamer : « oh La Réunion, lé pu comme avant ! ».Fort surpris par ce ouï-dire, il s’interroge et vous écrit. « Comment ça : La Réunion, lé pu comme avant ? Et les lieux de mon enfance, de ma jeunesse ? Et les créoles comment sont-ils aujourd’hui ?
Vous commencerez votre lettre ainsi :
Monsieur Leconte de Lisle,
J’ai sillonné l’île, si chère à votre cœur…
Rendez-vous sur notre site pour le règlement et à vos plumes !
[http://aparmedia.wixsite.com/appel]urlblank:http://aparmedia.wixsite.com/appel