
Le leader du parti Ridja, l'avocat franco-comorien Saïd Larifou, a été entendu mardi par la gendarmerie comorienne, suite à une déclaration de l'ancien président comorien, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Pour rappel, ce dernier avait notamment déclaré qu'un tueur à gages avait été engagé pour le tuer.
SaId Larifou s'est dit "soulagé" d'avoir pu répondre à cette convocation. "C’est avec satisfaction et soulagement que j’ai répondu à cette convocation de la gendarmerie. Les faits en question étaient extrêmement graves. C’est pour cette raison que j’ai saisi le ministère justice pour demander l’ouverture d’une enquête sur les deux faits relatés par Sambi", a déclaré l'avocat, comme rapporté par le blog du Ridja.
Le deuxième fait en question porte sur les soupçons de corruption et de détournements de fonds dont est accusé l'ancien président Sambi. "Sur ce point, j’ai demandé à être un acteur très actif de l’enquête ouverte (...) Je me suis constitué partie civile et c’est à partir de là que nous arriverons à la conclusion de savoir si oui ou non il y a eu malversation. Il y a des soupçons mais l’enquête qui est ouverte déterminera qui en est le responsable", poursuit Saïd Larifou.
Pour ce dernier, la démarche du parti Ridja de saisir la justice suite aux faits révélés par Sambi est "importante" pour le parti, mais également "pour le pays".
"Je pense qu’il est temps qu’on arrête toutes ces formes de suspicion et d’accusations gratuites sur les dirigeants comoriens. Si une personne a des soupçons sur l’usage fait des fonds publics, la personne doit déposer plainte", a ajouté l'avocat.
SaId Larifou s'est dit "soulagé" d'avoir pu répondre à cette convocation. "C’est avec satisfaction et soulagement que j’ai répondu à cette convocation de la gendarmerie. Les faits en question étaient extrêmement graves. C’est pour cette raison que j’ai saisi le ministère justice pour demander l’ouverture d’une enquête sur les deux faits relatés par Sambi", a déclaré l'avocat, comme rapporté par le blog du Ridja.
Le deuxième fait en question porte sur les soupçons de corruption et de détournements de fonds dont est accusé l'ancien président Sambi. "Sur ce point, j’ai demandé à être un acteur très actif de l’enquête ouverte (...) Je me suis constitué partie civile et c’est à partir de là que nous arriverons à la conclusion de savoir si oui ou non il y a eu malversation. Il y a des soupçons mais l’enquête qui est ouverte déterminera qui en est le responsable", poursuit Saïd Larifou.
Pour ce dernier, la démarche du parti Ridja de saisir la justice suite aux faits révélés par Sambi est "importante" pour le parti, mais également "pour le pays".
"Je pense qu’il est temps qu’on arrête toutes ces formes de suspicion et d’accusations gratuites sur les dirigeants comoriens. Si une personne a des soupçons sur l’usage fait des fonds publics, la personne doit déposer plainte", a ajouté l'avocat.