Dans le village MBéni, au nord-est de l’île de Grande Comore, une cérémonie religieuse célébrant la naissance du prophète Mahomet a viré au drame ce mercredi.
Alors que les célébrations étaient interdites en journée sauf le week-end, les forces de l'ordre sont intervenues pour faire arrêter l'événement et auraient été accueillies par des projectiles, selon le média Comoresinfos.net.
Les militaires auraient alors fait usage de gaz lacrymogène, mais aussi tiré avec des balles réelles selon plusieurs sources autorisées, rapporte Mayotte la 1ère. De son côté, la gendarmerie dément ce dernier élément, ce qui est contredit par plusieurs médecins. "Le plus gravement atteint a eu une balle ayant traversé la région lombaire", a confirmé un praticien à nos confrères du service public.
Une vingtaine de personnes auraient été blessées dans ces heurts violents. Après le départ des militaires, des jeunes ont incendié des maisons appartenant à des personnalités jugées proches du pouvoir, précise le média.
Alors que les célébrations étaient interdites en journée sauf le week-end, les forces de l'ordre sont intervenues pour faire arrêter l'événement et auraient été accueillies par des projectiles, selon le média Comoresinfos.net.
Les militaires auraient alors fait usage de gaz lacrymogène, mais aussi tiré avec des balles réelles selon plusieurs sources autorisées, rapporte Mayotte la 1ère. De son côté, la gendarmerie dément ce dernier élément, ce qui est contredit par plusieurs médecins. "Le plus gravement atteint a eu une balle ayant traversé la région lombaire", a confirmé un praticien à nos confrères du service public.
Une vingtaine de personnes auraient été blessées dans ces heurts violents. Après le départ des militaires, des jeunes ont incendié des maisons appartenant à des personnalités jugées proches du pouvoir, précise le média.