C’est le doyen de l’édition 2017. Claude Léonardi, 81 ans, s’apprête à participer au grand Raid pour la 6ème fois. Le sportif corse a déjà couru trois fois la Diagonale des fous et deux fois le trail de Bourbon.
Son secret pour être en si grande forme ? "Je m’entretiens. C’est la seule façon pour durer longtemps", estime-t-il. "J’ai le sport dans le sang. J’ai toujours fait du sport amateur. Parfois, je secoue la carcasse pour savoir où j’en suis".
Pour se préparer à ce nouveau défi, l'octogénaire est parti du Puy-en-Velay pour aller à Saint-Jacques de Compostelle puis à Fàtima. "J'ai parcouru 2000 km en 42 jours", se souvient celui qui a déjà participé, entre autres, à l'UTMB, à la CCC, au grand trail des Pyrénées, et au marathon des sables à huit reprises.
"On ne garde que les bons souvenirs"
Ancien organisateur de courses, Claude Léonardi, travaille encore les matins dans son entreprise de distribution. Et passe tous ses après-midis à la Montagne, avec ses chiens. S’il faisait par le passé du vélo, du football et même du parachutisme, il se consacre maintenant exclusivement à la course-nature. "Ça permet de voir du pays. Même si on en bave, on ne garde que les bons souvenirs".
Le Grand Raid représente d'ailleurs pour ce passionné l’esprit du sport tel qu'il le conçoit. "Les gens n’ont pas la grosse tête, on est amateurs, solidaires. On fait des connaissances, on se retrouve. Ça permet de partager avec des gens qui ont la même passion", s'enthousiasme-t-il.
Si terminer premier de sa catégorie serait une grande satisfaction, Claude Léonardi ne recherche pas particulièrement la performance. Il souligne "Pierre De Coubertin disait 'L'essentiel c’est de participer' ; j’ajouterai : 'et de terminer'. C’est mon objectif : terminer cette course".
Son secret pour être en si grande forme ? "Je m’entretiens. C’est la seule façon pour durer longtemps", estime-t-il. "J’ai le sport dans le sang. J’ai toujours fait du sport amateur. Parfois, je secoue la carcasse pour savoir où j’en suis".
Pour se préparer à ce nouveau défi, l'octogénaire est parti du Puy-en-Velay pour aller à Saint-Jacques de Compostelle puis à Fàtima. "J'ai parcouru 2000 km en 42 jours", se souvient celui qui a déjà participé, entre autres, à l'UTMB, à la CCC, au grand trail des Pyrénées, et au marathon des sables à huit reprises.
"On ne garde que les bons souvenirs"
Ancien organisateur de courses, Claude Léonardi, travaille encore les matins dans son entreprise de distribution. Et passe tous ses après-midis à la Montagne, avec ses chiens. S’il faisait par le passé du vélo, du football et même du parachutisme, il se consacre maintenant exclusivement à la course-nature. "Ça permet de voir du pays. Même si on en bave, on ne garde que les bons souvenirs".
Le Grand Raid représente d'ailleurs pour ce passionné l’esprit du sport tel qu'il le conçoit. "Les gens n’ont pas la grosse tête, on est amateurs, solidaires. On fait des connaissances, on se retrouve. Ça permet de partager avec des gens qui ont la même passion", s'enthousiasme-t-il.
Si terminer premier de sa catégorie serait une grande satisfaction, Claude Léonardi ne recherche pas particulièrement la performance. Il souligne "Pierre De Coubertin disait 'L'essentiel c’est de participer' ; j’ajouterai : 'et de terminer'. C’est mon objectif : terminer cette course".