
Le communiqué de la Ville de Ste-Marie :
Le passage de Batsirai à 190km au nord de La Réunion n’a pas été sans conséquences sur le territoire communal de Sainte-Marie. Les fortes pluies et les rafales de vents ont provoqué d’importants dégâts chez les particuliers, les agriculteurs, les professionnels et sur les équipements publics.
Dans les jours qui ont suivi la levée de l’alerte rouge, les équipes municipales ont procédé au recensement et au chiffrage des dégradations engendrées par le passage du cyclone. Compte tenu de ce bilan qui a été transmis aux services de l’État, le Maire Richard Nirlo, a sollicité le classement de la commune en état de catastrophe naturelle.
En réponse à cette demande, l’équipe municipale fut surprise d’apprendre que seules 20 communes, sur 24, ont fait l’objet d’une reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle suite aux inondations et coulées de boue. La commune de Sainte-Marie ayant été exclue sur le seul critère de la pluviométrie. « Les pluies de Batsirai ne se sont pas arrêtées à la Rivière des Pluies, zone limitrophe entre Sainte-Marie et Saint-Denis » a fait remarquer Richard Nirlo.
Pour permettre aux administrés et aux entreprises d’être rapidement et correctement dédommagés par leur compagnie d’assurance, Richard Nirlo a adressé un deuxième courrier au ministre des Outremer, Sébastien Lecornu, alors en visite sur l’île.
La requête du Maire de Sainte-Marie a été entendue puisqu’une nouvelle commission se réunira le 8 mars afin d’examiner les compléments d’expertise apportés pour les communes de Sainte-Marie, Sainte Suzanne, Bras-Panon et Saint-André.
Cette commission étudiera également les demandes de classement en état de catastrophe naturelle liées au vent cyclonique, à la houle et aux submersions marines.
Le passage de Batsirai à 190km au nord de La Réunion n’a pas été sans conséquences sur le territoire communal de Sainte-Marie. Les fortes pluies et les rafales de vents ont provoqué d’importants dégâts chez les particuliers, les agriculteurs, les professionnels et sur les équipements publics.
Dans les jours qui ont suivi la levée de l’alerte rouge, les équipes municipales ont procédé au recensement et au chiffrage des dégradations engendrées par le passage du cyclone. Compte tenu de ce bilan qui a été transmis aux services de l’État, le Maire Richard Nirlo, a sollicité le classement de la commune en état de catastrophe naturelle.
En réponse à cette demande, l’équipe municipale fut surprise d’apprendre que seules 20 communes, sur 24, ont fait l’objet d’une reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle suite aux inondations et coulées de boue. La commune de Sainte-Marie ayant été exclue sur le seul critère de la pluviométrie. « Les pluies de Batsirai ne se sont pas arrêtées à la Rivière des Pluies, zone limitrophe entre Sainte-Marie et Saint-Denis » a fait remarquer Richard Nirlo.
Pour permettre aux administrés et aux entreprises d’être rapidement et correctement dédommagés par leur compagnie d’assurance, Richard Nirlo a adressé un deuxième courrier au ministre des Outremer, Sébastien Lecornu, alors en visite sur l’île.
La requête du Maire de Sainte-Marie a été entendue puisqu’une nouvelle commission se réunira le 8 mars afin d’examiner les compléments d’expertise apportés pour les communes de Sainte-Marie, Sainte Suzanne, Bras-Panon et Saint-André.
Cette commission étudiera également les demandes de classement en état de catastrophe naturelle liées au vent cyclonique, à la houle et aux submersions marines.