
À Saint-Denis, une vingtaine de salariés de l'entreprise Citroën débraye ce matin pour protester contre la mise à pied d'un des leurs. Ils réclament la levée de cette sanction. Une sanction prise à l'encontre d'un employé, qui plus est membre de la CGTR CMR, syndicat actuellement en procédure pénale contre sa direction au sujet de sa représentativité au sein de l'entreprise.
Une mise à pied décidée par le directeur d'exploitation de la concession du Chaudron. Il est reproché à l'employé d'avoir eu un accident avec la voiture d'un client, explique le syndicat. "On demande le retrait de cette mise à pied car il n'y a pas eu d'intention réelle ou de volonté de détériorer le véhicule", explique Sébastien Faconnier, secrétaire adjoint de la CGTR CMR.
Pour le moment, les salariés débrayent uniquement ce matin. Mais la CGTR CMR prévient. Le climat social ne cesse de se dégrader au sein de l'entreprise depuis l'affaire du licenciement avorté du délégué syndical de la CGTR CMR, Eric Dorval, pour un PV d'huissier modifié.
Depuis, la direction conteste la représentativité du syndicat devant les juridictions compétentes et pour le moment les NAO (négociations annuelles obligatoires) restent bloquées. Une lettre a été adressée à la direction pour demander la réouverture des NAO pour cette année 2013. Si la demande reste lettre morte, le syndicat menace de lancer une grève générale.
Une mise à pied décidée par le directeur d'exploitation de la concession du Chaudron. Il est reproché à l'employé d'avoir eu un accident avec la voiture d'un client, explique le syndicat. "On demande le retrait de cette mise à pied car il n'y a pas eu d'intention réelle ou de volonté de détériorer le véhicule", explique Sébastien Faconnier, secrétaire adjoint de la CGTR CMR.
Pour le moment, les salariés débrayent uniquement ce matin. Mais la CGTR CMR prévient. Le climat social ne cesse de se dégrader au sein de l'entreprise depuis l'affaire du licenciement avorté du délégué syndical de la CGTR CMR, Eric Dorval, pour un PV d'huissier modifié.
Depuis, la direction conteste la représentativité du syndicat devant les juridictions compétentes et pour le moment les NAO (négociations annuelles obligatoires) restent bloquées. Une lettre a été adressée à la direction pour demander la réouverture des NAO pour cette année 2013. Si la demande reste lettre morte, le syndicat menace de lancer une grève générale.