C'est un travail de longue haleine menée par la Cinor aussi bien avec l'association, qui a répondu à un appel d'offres dans le cadre de la GEMAPI, qu'avec les autorités compétentes, à savoir les services de la Police de l'eau (DEAL) et la Brigade nature de l'Océan Indien, qui ont donné leur aval pour la mise en œuvre du projet.
"Avec ce dispositif, le but est de récupérer les déchets avant qu'ils ne partent à la mer et polluent encore plus l'océan. Notre souhait, c'est qu'après cette première, d'autres collectivités prennent le relais afin de protéger tout le littoral de l'île", explique Maurice Gironcel, président de la Cinor, "certain" que l'expérimentation va "faire des émules dans d'autres collectivités de l'île".
Pour cette expérimentation, quatre cours d'eau ont été retenus : la sortie d'eau pluviale en face de l'école Yang Ylang et celle de la passerelle de la Fraternité sur le Bas de la Rivière Saint-Denis, la sortie d'eau pluviale sur la Rivière Sainte-Marie, à proximité du Poste de police municipale, et enfin, la sortie d'eau pluviale à Sainte Suzanne dans la Rue du 20 décembre.
Ainsi, chaque semaine, un agent de la collectivité viendra constater sur ces lieux l'évolution du remplissage des filets. Le processus d'enlèvement interviendra quant à lui une fois par mois et les déchets récupérés seront acheminés au centre de transit de la Jamaïque pour y être pesés. Ils seront ensuite ramenés au siège de l'AAPPMARN pour y être triés et pesés par catégorie avant de partir au recyclage.
"Ce projet a pour but de générer de l'activité, de l'emploi et de développement", indique la Cinor qui, en parallèle de la pose de ces filets, a lancé une étude pour un suivi d'impact sur la faune et la flore marine pour éviter de piéger les poissons ou autres tortues. Sur ce point, l'intercommunalité se veut rassurante. "Les filets seront installés en sorties d'eaux pluviales dans les rivières, il n'y aura donc pas de risque pour les poissons", explique cette dernière, assurant qu'une vigilance toute particulière a été apportée "aussi bien dans la pose que dans l'entretien futur de ces filets".
Si la pose de ces filets était attendue, du moins pour faire prendre conscience de l'accumulation des déchets dans nos rivières, l'objectif affiché à terme est de ne pas les généraliser. "Si on en rajoute encore et encore, cela voudrait dire qu'il y a plus de déchets. Le but à la fin, c'est que les gens prennent conscience du problème", explique Johan Bellon, président de l'AAPPMARN.
"Avec ce dispositif, le but est de récupérer les déchets avant qu'ils ne partent à la mer et polluent encore plus l'océan. Notre souhait, c'est qu'après cette première, d'autres collectivités prennent le relais afin de protéger tout le littoral de l'île", explique Maurice Gironcel, président de la Cinor, "certain" que l'expérimentation va "faire des émules dans d'autres collectivités de l'île".
Pour cette expérimentation, quatre cours d'eau ont été retenus : la sortie d'eau pluviale en face de l'école Yang Ylang et celle de la passerelle de la Fraternité sur le Bas de la Rivière Saint-Denis, la sortie d'eau pluviale sur la Rivière Sainte-Marie, à proximité du Poste de police municipale, et enfin, la sortie d'eau pluviale à Sainte Suzanne dans la Rue du 20 décembre.
Ainsi, chaque semaine, un agent de la collectivité viendra constater sur ces lieux l'évolution du remplissage des filets. Le processus d'enlèvement interviendra quant à lui une fois par mois et les déchets récupérés seront acheminés au centre de transit de la Jamaïque pour y être pesés. Ils seront ensuite ramenés au siège de l'AAPPMARN pour y être triés et pesés par catégorie avant de partir au recyclage.
"Ce projet a pour but de générer de l'activité, de l'emploi et de développement", indique la Cinor qui, en parallèle de la pose de ces filets, a lancé une étude pour un suivi d'impact sur la faune et la flore marine pour éviter de piéger les poissons ou autres tortues. Sur ce point, l'intercommunalité se veut rassurante. "Les filets seront installés en sorties d'eaux pluviales dans les rivières, il n'y aura donc pas de risque pour les poissons", explique cette dernière, assurant qu'une vigilance toute particulière a été apportée "aussi bien dans la pose que dans l'entretien futur de ces filets".
Si la pose de ces filets était attendue, du moins pour faire prendre conscience de l'accumulation des déchets dans nos rivières, l'objectif affiché à terme est de ne pas les généraliser. "Si on en rajoute encore et encore, cela voudrait dire qu'il y a plus de déchets. Le but à la fin, c'est que les gens prennent conscience du problème", explique Johan Bellon, président de l'AAPPMARN.