
Clara Derfla. Son nom ne vous parle peut-être pas, pourtant, elle est actuellement sur le devant de la scène médiatique pour le rôle qu'elle joue dans le conflit entre salariés et direction de la Cilam.
Clara Derfla est secrétaire générale adjointe de la CGTR Sud. "Extérieure" à l'entreprise, elle se positionne comme "simple communicante". Pourtant, à en croire la couverture médiatique des différentes presses locales, c'est un dossier qu'elle mène à bras-le-corps, une bataille virulente contre la direction qu'elle dirige avec ardeur, un combat qu'elle affronte comme si son avenir professionnel en dépendait...
Il y a quelques jours, la direction de la Cilam a reproché, de façon impersonnelle, les actions menées devant leurs locaux par "des personnes qui ne sont même pas des salariés de l’entreprise".
Pour Clara Derfla, "avec la répression syndicale qui existe au sein de la Cilam, il n'était pas prudent d'avoir un salarié exposé, explique-t-elle. Je ne décide pas des revendications et je ne serai pas présente lors d'éventuelles négociations, mais simplement quelqu'un qui ne risque rien pour communiquer leurs attentes".
La réunion de conciliation entre les grévistes et la direction se poursuit dans les locaux de la dieccte à Saint-Denis. "On espère trouver un terrain d'entente, ce qui pourrait être compliqué si la direction ne souhaite toujours pas négocier les salaires de ses employés", ajoute-t-elle.
Clara Derfla est secrétaire générale adjointe de la CGTR Sud. "Extérieure" à l'entreprise, elle se positionne comme "simple communicante". Pourtant, à en croire la couverture médiatique des différentes presses locales, c'est un dossier qu'elle mène à bras-le-corps, une bataille virulente contre la direction qu'elle dirige avec ardeur, un combat qu'elle affronte comme si son avenir professionnel en dépendait...
Il y a quelques jours, la direction de la Cilam a reproché, de façon impersonnelle, les actions menées devant leurs locaux par "des personnes qui ne sont même pas des salariés de l’entreprise".
Pour Clara Derfla, "avec la répression syndicale qui existe au sein de la Cilam, il n'était pas prudent d'avoir un salarié exposé, explique-t-elle. Je ne décide pas des revendications et je ne serai pas présente lors d'éventuelles négociations, mais simplement quelqu'un qui ne risque rien pour communiquer leurs attentes".
La réunion de conciliation entre les grévistes et la direction se poursuit dans les locaux de la dieccte à Saint-Denis. "On espère trouver un terrain d'entente, ce qui pourrait être compliqué si la direction ne souhaite toujours pas négocier les salaires de ses employés", ajoute-t-elle.